Titre : | Wolf : mémoires fictifs | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jim Harrison (1937-2016), Auteur ; Marie-Hélène Dumas, Traducteur | Editeur : | Paris : 10-18 | Année de publication : | 1992 | Collection : | 10-18. Série Domaine étranger | Sous-collection : | Domaine étranger num. 2325 | Importance : | 265 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-264-01691-4 | Note générale : | Acquisition réalisée dans le cadre de la « bibliothèque nomade du méta-campement » initiée par Jean-Paul Thibeau à l’École supérieure d'art d'Aix-en-Provence en 2010. (http://protocolesmeta.com). | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Résumé : | « Le loup des steppes de Fenimore Cooper, c'est Jim Harrison, lui seul, dans ce livre écrit en 1971, à l'âge de 34 ans. On y côtoie les grands buveurs avec qui il aime tanguer dans les bars, la rivière, la forêt, l'odeur des femmes, les espaces de John Ford. Harrison nous tire à l'orée des bois (de la vie), là où les hommes s'exaltent, deviennent insensés. Au bout du compte, il y a le miracle d'une écriture vigoureuse : elle éclabousse le lecteur de mille vérités, de mille désastres, elle est d'une rare crudité, d'une rare tenue, d'un beau lyrisme, d'une transparence de lac de montagne. » Alferd Eibel (Le Quotidien de Paris) |
Wolf : mémoires fictifs [texte imprimé] / Jim Harrison (1937-2016), Auteur ; Marie-Hélène Dumas, Traducteur . - Paris : 10-18, 1992 . - 265 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( 10-18. Série Domaine étranger. Domaine étranger; 2325) . ISBN : 2-264-01691-4 Acquisition réalisée dans le cadre de la « bibliothèque nomade du méta-campement » initiée par Jean-Paul Thibeau à l’École supérieure d'art d'Aix-en-Provence en 2010. (http://protocolesmeta.com). Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : | « Le loup des steppes de Fenimore Cooper, c'est Jim Harrison, lui seul, dans ce livre écrit en 1971, à l'âge de 34 ans. On y côtoie les grands buveurs avec qui il aime tanguer dans les bars, la rivière, la forêt, l'odeur des femmes, les espaces de John Ford. Harrison nous tire à l'orée des bois (de la vie), là où les hommes s'exaltent, deviennent insensés. Au bout du compte, il y a le miracle d'une écriture vigoureuse : elle éclabousse le lecteur de mille vérités, de mille désastres, elle est d'une rare crudité, d'une rare tenue, d'un beau lyrisme, d'une transparence de lac de montagne. » Alferd Eibel (Le Quotidien de Paris) |
| |