Titre : | Les Elans minuscules | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Pierre Ostende, Auteur | Editeur : | Le Muy : Unes | Année de publication : | 1986 | Importance : | 1 vol. (73 p.) | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2877040440 | Langues : | Français | Catégories : | Littérature Ostende, Jean-Pierre (1954-....) Poésie -- 20e siècle Poésie contemporaine
| Résumé : | De quoi sont faits ces « élans minuscules » ? Une liste de conseils, une liste de choses à faire impossibles à faire, un catalogue de souvenirs, pas une liste du tout. Des élans qui se jettent et s’arrêtent net, ou se prolongent en écho. Des intentions à perte de vue, des promesses en l’air, « peu ou pas de règle, suivre l’entrain des ondulations » prévient Jean-Pierre Ostende. Et il n’y a plus rien de minuscule dans cette accumulation qui embrasse l’existence dans les grandes largeurs, dans l’imprécision des minutieux détails. Des souvenir en tas, des danses, des ébriétés, des agitations. La forme est brève, les verbes pas toujours conjugués, on rit et on s’inquiète, une ellipse de vie pour « dribbler les avachis ». Alors, ce sera, dans le plus grand désordre, sucer des bonbons, zigzaguer dans la pampa, dormir dans le fossé, filer avec les bonbonnes, être un hidalgo sur un sofa, perdre la cadence, faire le vivant, chercher sa place même dans le lit, ou encore ne pas tenir sa parole. |
Les Elans minuscules [texte imprimé] / Jean-Pierre Ostende, Auteur . - Le Muy : Unes, 1986 . - 1 vol. (73 p.) ; 21 cm. ISSN : 2877040440 Langues : Français Catégories : | Littérature Ostende, Jean-Pierre (1954-....) Poésie -- 20e siècle Poésie contemporaine
| Résumé : | De quoi sont faits ces « élans minuscules » ? Une liste de conseils, une liste de choses à faire impossibles à faire, un catalogue de souvenirs, pas une liste du tout. Des élans qui se jettent et s’arrêtent net, ou se prolongent en écho. Des intentions à perte de vue, des promesses en l’air, « peu ou pas de règle, suivre l’entrain des ondulations » prévient Jean-Pierre Ostende. Et il n’y a plus rien de minuscule dans cette accumulation qui embrasse l’existence dans les grandes largeurs, dans l’imprécision des minutieux détails. Des souvenir en tas, des danses, des ébriétés, des agitations. La forme est brève, les verbes pas toujours conjugués, on rit et on s’inquiète, une ellipse de vie pour « dribbler les avachis ». Alors, ce sera, dans le plus grand désordre, sucer des bonbons, zigzaguer dans la pampa, dormir dans le fossé, filer avec les bonbonnes, être un hidalgo sur un sofa, perdre la cadence, faire le vivant, chercher sa place même dans le lit, ou encore ne pas tenir sa parole. |
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