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Aisthesis / Jacques Rancière

Public ISBD Titre : Aisthesis : scènes du régime esthétique de l'art Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Rancière, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2011 Collection : La Philosophie en effet Importance : 314 p. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0852-5 Note générale : Index Langues : Français Catégories : Art Esthétique Aisthesis : scènes du régime esthétique de l'art [texte imprimé] / Jacques Rancière, Auteur . - Paris : Galilée, 2011 . - 314 p. ; 24 cm.. - (La Philosophie en effet) . ISBN : 978-2-7186-0852-5 Index Langues : Français Catégories : Art Esthétique

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002421	701-17 RAN	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Anachronies de l'oeuvre d'art / Daniel Payot

Public ISBD Titre : Anachronies de l'oeuvre d'art Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Payot, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1990 Collection : La Philosophie en effet Importance : 223 p. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0387-2 Langues : Français Catégories : Esthétique Anachronies de l'oeuvre d'art [texte imprimé] / Daniel Payot, Auteur . - Paris : Galilée, 1990 . - 223 p. ; 24 cm.. - (La Philosophie en effet) . ISBN : 978-2-7186-0387-2 Langues : Français Catégories : Esthétique

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000107	111-85 PAY	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Camera obscura : de l'idéologie / Sarah Kofman

Public ISBD Titre : Camera obscura : de l'idéologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Kofman, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1973 Collection : La Philosophie en effet Importance : 1 vol. (100 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0007-9 Langues : Français Catégories : Philosophie -- Histoire Résumé : « Camera obscura : machine qu’utilisèrent des peintres comme Léonard de Vinci pour imiter la nature ; appareil de décalque et de transparence, révélateur de l’accord de l’homme avec le monde. Appareil de perspective destiné à éliminer tout perspectivisme. La camera obscura serait un œil sans point de vue, regard de vue, regard de Dieu sur l’univers. Pourtant, au XIXe siècle, la chambre obscure reçoit une connotation négative. Elle est chez Marx la métaphore du renversement idéologique, chez Nietzsche celle du perspectivisme généralisé ; chez Freud, celle de l’inconscient. La chambre obscure voile les rapports réels, sépare la conscience d’elle-même et du monde. La clef de la chambre a été jetée. L’idée au logis tourne narcissiquement autour d’elle-même et enfante un monde fantasmagorique et fétichiste. Connaître est-ce retrouver la clef, regarder par le trou de la serrure ? Ne demeure-t-on pas ainsi dans le champ idéologique de la Renaissance ? »S. K. Camera obscura : de l'idéologie [texte imprimé] / Sarah Kofman, Auteur . - Paris : Galilée, 1973 . - 1 vol. (100 p.) : ill. ; 22 cm. - (La Philosophie en effet) . ISBN : 978-2-7186-0007-9 Langues : Français Catégories : Philosophie -- Histoire Résumé : « Camera obscura : machine qu’utilisèrent des peintres comme Léonard de Vinci pour imiter la nature ; appareil de décalque et de transparence, révélateur de l’accord de l’homme avec le monde. Appareil de perspective destiné à éliminer tout perspectivisme. La camera obscura serait un œil sans point de vue, regard de vue, regard de Dieu sur l’univers. Pourtant, au XIXe siècle, la chambre obscure reçoit une connotation négative. Elle est chez Marx la métaphore du renversement idéologique, chez Nietzsche celle du perspectivisme généralisé ; chez Freud, celle de l’inconscient. La chambre obscure voile les rapports réels, sépare la conscience d’elle-même et du monde. La clef de la chambre a été jetée. L’idée au logis tourne narcissiquement autour d’elle-même et enfante un monde fantasmagorique et fétichiste. Connaître est-ce retrouver la clef, regarder par le trou de la serrure ? Ne demeure-t-on pas ainsi dans le champ idéologique de la Renaissance ? »S. K.

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000143	120 KOF	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Malaise dans l'esthétique / Jacques Rancière

Public ISBD Titre : Malaise dans l'esthétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Rancière, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2004 Collection : La Philosophie en effet Importance : 172 p. Format : 22 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0662-0 Langues : Français Catégories : Art Esthétique Malaise dans l'esthétique [texte imprimé] / Jacques Rancière, Auteur . - Paris : Galilée, 2004 . - 172 p. ; 22 cm.. - (La Philosophie en effet) . ISBN : 978-2-7186-0662-0 Langues : Français Catégories : Art Esthétique

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001245	701-17 RAN	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Parages / Jacques Derrida

Public ISBD Titre : Parages Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Derrida, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2003 Collection : La Philosophie en effet Importance : 1 vol. (299 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0624-8 Note générale : Bibliogr. p. 301 Langues : Français Catégories : Blanchot, Maurice (1907-2003) Esthétique Philosophie Résumé : « Ne faudrait-il pas, allant contre l’usage, dire en premier lieu la disparité ? Dissemblables et discontinus, alliés ou reliés, ces écrits paraissent ensemble néanmoins. Sans doute cherchent-ils à décrire un seul et même mouvement. Procédant en vue d’une œuvre unique, celle de Maurice Blanchot, ils tenteraient ainsi de l’approcher, même s’ils doivent renoncer à l’aborder.Tous furent écrits et publiés, dans leur première version, entre 1975 et 1979, à l’exception du dernier – constituant l’ajout à cette réédition –, celui de l’hommage rendu à Maurice Blanchot lors de sa disparition, en mars 2003. Au cours de ces années 1975-1979, j’avais cru relire les œuvres de fiction de Maurice Blanchot. En vérité, je les découvrais. Appelons-les encore fictions par commodité. Elles portent parfois la mention de récit, ailleurs celle de roman. Il arrive que ce signe d’appartenance n’apparaisse pas ou s’efface d’une version à l’autre, d’une édition à l’autre. Ces fictions, donc, je croyais les avoir déjà lues. Au moment de publier ces essais, j’en suis moins sûr que jamais. D’autres œuvres de Blanchot m’accompagnent depuis longtemps, celles que l’on situe, aussi improprement, dans les domaines de la critique littéraire ou de la philosophie. Non qu’elles me soient, elles, devenues familières ; du moins avais-je pu croire, au cours des années dont je parle, y avoir reconnu un mouvement essentiel de la pensée. Mais les fictions me restaient inaccessibles, comme plongées dans une brume d’où ne me parvenaient que de fascinantes lueurs, et parfois, à intervalles irréguliers, la lumière d’un phare invisible sur la côte. Je ne dirai pas que de cette réserve désormais les voici sorties, bien au contraire. Mais dans leur dissimulation même, elles se sont de nouveau présentées à moi. Avec une force maintenant inéluctable, la force la plus discrète et donc la plus provocatrice, force de hantise et de conviction, injonction d’une vérité sans vérité, toujours au-delà de la fascination dont on parle à leur sujet. Cette fascination, elles ne l’exercent pas. Elles la traversent, la décrivent, la donnent à penser plutôt qu’elles n’en usent ou n’en jouent. Mais avant de parler d’une loi de la fascination, nous devrons être attentifs à une fascination de la loi. »J. D. Parages [texte imprimé] / Jacques Derrida, Auteur . - Paris : Galilée, 2003 . - 1 vol. (299 p.) ; 24 cm. - (La Philosophie en effet) . ISBN : 978-2-7186-0624-8 Bibliogr. p. 301 Langues : Français Catégories : Blanchot, Maurice (1907-2003) Esthétique Philosophie Résumé : « Ne faudrait-il pas, allant contre l’usage, dire en premier lieu la disparité ? Dissemblables et discontinus, alliés ou reliés, ces écrits paraissent ensemble néanmoins. Sans doute cherchent-ils à décrire un seul et même mouvement. Procédant en vue d’une œuvre unique, celle de Maurice Blanchot, ils tenteraient ainsi de l’approcher, même s’ils doivent renoncer à l’aborder.Tous furent écrits et publiés, dans leur première version, entre 1975 et 1979, à l’exception du dernier – constituant l’ajout à cette réédition –, celui de l’hommage rendu à Maurice Blanchot lors de sa disparition, en mars 2003. Au cours de ces années 1975-1979, j’avais cru relire les œuvres de fiction de Maurice Blanchot. En vérité, je les découvrais. Appelons-les encore fictions par commodité. Elles portent parfois la mention de récit, ailleurs celle de roman. Il arrive que ce signe d’appartenance n’apparaisse pas ou s’efface d’une version à l’autre, d’une édition à l’autre. Ces fictions, donc, je croyais les avoir déjà lues. Au moment de publier ces essais, j’en suis moins sûr que jamais. D’autres œuvres de Blanchot m’accompagnent depuis longtemps, celles que l’on situe, aussi improprement, dans les domaines de la critique littéraire ou de la philosophie. Non qu’elles me soient, elles, devenues familières ; du moins avais-je pu croire, au cours des années dont je parle, y avoir reconnu un mouvement essentiel de la pensée. Mais les fictions me restaient inaccessibles, comme plongées dans une brume d’où ne me parvenaient que de fascinantes lueurs, et parfois, à intervalles irréguliers, la lumière d’un phare invisible sur la côte. Je ne dirai pas que de cette réserve désormais les voici sorties, bien au contraire. Mais dans leur dissimulation même, elles se sont de nouveau présentées à moi. Avec une force maintenant inéluctable, la force la plus discrète et donc la plus provocatrice, force de hantise et de conviction, injonction d’une vérité sans vérité, toujours au-delà de la fascination dont on parle à leur sujet. Cette fascination, elles ne l’exercent pas. Elles la traversent, la décrivent, la donnent à penser plutôt qu’elles n’en usent ou n’en jouent. Mais avant de parler d’une loi de la fascination, nous devrons être attentifs à une fascination de la loi. »J. D.

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010612	194 DER	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible