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Collection Fables du lieu
- Editeur : Les Editions de Minuit
- ISSN : pas d'ISSN
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Affiner la rechercheL'étoilement : conversation avec Hantaï / Georges Didi-Huberman
Titre : L'étoilement : conversation avec Hantaï Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1998 Collection : Fables du lieu Importance : 1 vol. (123 p.) Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1630-1 Langues : Français Catégories : Critique d'art
Entretiens
Hantaï, Simon (1922-2008)Résumé : Simon Hantaï est un peintre majeur qui, depuis quinze ans, a pris la décision du silence et de l’absence. Il s’est retiré du “ monde de l’art ”, n’a plus exposé. On a dit qu’il avait définitivement cessé de peindre. Ce petit livre est le récit de la rupture du silence. Il paraît au moment où l’artiste expose son travail pour la première fois depuis cette décision de retrait. Hantaï parle – un peu comme dans la Conversation avec Cézanne, d’Émile Bernard –, révèle son travail actuel, revient sur le passé, énonce ses décisions picturales. Un philosophe l’écoute, debout dans l’espace de l’atelier. Rentré chez lui, il tente de se remémorer, prend des notes et voit des motifs se former. Parmi eux, bien sûr, toiles, rentoilages (tableaux qui changent de découpe et de support), étoilements – ces motifs en étoile qui apparaissent à chaque nœud que défait Hantaï dans son travail de peintre. L'étoilement : conversation avec Hantaï [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1998 . - 1 vol. (123 p.) : ill. ; 19 cm. - (Fables du lieu) .
ISBN : 978-2-7073-1630-1
Langues : Français
Catégories : Critique d'art
Entretiens
Hantaï, Simon (1922-2008)Résumé : Simon Hantaï est un peintre majeur qui, depuis quinze ans, a pris la décision du silence et de l’absence. Il s’est retiré du “ monde de l’art ”, n’a plus exposé. On a dit qu’il avait définitivement cessé de peindre. Ce petit livre est le récit de la rupture du silence. Il paraît au moment où l’artiste expose son travail pour la première fois depuis cette décision de retrait. Hantaï parle – un peu comme dans la Conversation avec Cézanne, d’Émile Bernard –, révèle son travail actuel, revient sur le passé, énonce ses décisions picturales. Un philosophe l’écoute, debout dans l’espace de l’atelier. Rentré chez lui, il tente de se remémorer, prend des notes et voit des motifs se former. Parmi eux, bien sûr, toiles, rentoilages (tableaux qui changent de découpe et de support), étoilements – ces motifs en étoile qui apparaissent à chaque nœud que défait Hantaï dans son travail de peintre. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001263 701-18 HAN DID Livre Médiathèque Fonds général Disponible Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise / Georges Didi-Huberman
Titre : Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 156 p. Format : ill. n&b., 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1737-7 Langues : Français Catégories : Empreinte (art)
Feu
Italie
Poussière
Traces physiques
XX°Résumé : Le genre de lieux qu’invente Claudio Parmiggiani dans la série d’œuvres intitulée Delocazione passe d’abord par un travail avec le souffle : c’est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suite, sa cendre, sa poussière de combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l’ascèse de la couleur, l’absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, "le silence d’une nature morte obsidionale. L’air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s’éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle – qui détruit l’espace familier autant qu’il produit le lieu de l’œuvre – à l’aune d’une mémoire où l’histoire de la peinture rencontrera les fantômes d’Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d’abord du temps : des survivances, des hantises. Le résultat est un genre inédit de l’inquiétante étrangeté. Et c’est dans la poussière que nous aurons à le découvrir." Artistes : PARMIGGIANI, Claudio Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2001 . - 156 p. ; ill. n&b., 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 978-2-7073-1737-7
Langues : Français
Catégories : Empreinte (art)
Feu
Italie
Poussière
Traces physiques
XX°Résumé : Le genre de lieux qu’invente Claudio Parmiggiani dans la série d’œuvres intitulée Delocazione passe d’abord par un travail avec le souffle : c’est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suite, sa cendre, sa poussière de combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l’ascèse de la couleur, l’absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, "le silence d’une nature morte obsidionale. L’air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s’éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle – qui détruit l’espace familier autant qu’il produit le lieu de l’œuvre – à l’aune d’une mémoire où l’histoire de la peinture rencontrera les fantômes d’Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d’abord du temps : des survivances, des hantises. Le résultat est un genre inédit de l’inquiétante étrangeté. Et c’est dans la poussière que nous aurons à le découvrir." Artistes : PARMIGGIANI, Claudio Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002474 701 DID Livre Médiathèque Fonds général Disponible L'homme qui marchait dans la couleur / Georges Didi-Huberman
Titre : L'homme qui marchait dans la couleur Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 93 p. Format : ill. n&b., 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1736-0 Langues : Français Catégories : Art -- 20e siècle
Couleur
Lumière
Turrell, James (1943-....)Résumé : L’artiste est inventeur de lieux. Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu’invente James Turrell passe d’abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses dites immatérielles que sont la couleur, l’espacement, la limite, le ciel, le rai, la nuit. Ses chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c’est-à-dire où voir devient l’expérience de la chôra, ce lieu “ absolu ” de la fable platonicienne. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des “ rêves blancs ”. Cette sculpture de surplombs, de ciels et de volcans est ici présentée comme une fable de cheminements. En sorte que regarder une œuvre d’art équivaudrait à marcher dans un désert. [Résumé de l'éditeur] L'homme qui marchait dans la couleur [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2001 . - 93 p. ; ill. n&b., 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 978-2-7073-1736-0
Langues : Français
Catégories : Art -- 20e siècle
Couleur
Lumière
Turrell, James (1943-....)Résumé : L’artiste est inventeur de lieux. Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu’invente James Turrell passe d’abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses dites immatérielles que sont la couleur, l’espacement, la limite, le ciel, le rai, la nuit. Ses chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c’est-à-dire où voir devient l’expérience de la chôra, ce lieu “ absolu ” de la fable platonicienne. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des “ rêves blancs ”. Cette sculpture de surplombs, de ciels et de volcans est ici présentée comme une fable de cheminements. En sorte que regarder une œuvre d’art équivaudrait à marcher dans un désert. [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001354 701-18 TUR DID Livre Médiathèque Fonds général Disponible