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Affiner la recherchePendant la lecture / Gérard Unger
Titre : Pendant la lecture Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Unger, Auteur ; André Verkaeren, Traducteur Editeur : Paris : B42 Année de publication : 2015 Importance : 230 p.-[12] f. de pl. Présentation : ill. en noir Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-917855-61-4 Note générale : Bibliogr. p. 219-223. Index Langues : Français Langues originales : Néerlandais Catégories : Lecture
Lecture-- Aspect psychologiqueRésumé : Que se passe-t-il pendant qu’on lit ? Gerard Unger étudie dans cet ouvrage ce qui se produit pendant la lecture – devant nos yeux et à l’intérieur de nous. Selon lui, les concepteurs devraient en toutes circonstances considérer deux questions essentielles : dans quelle mesure les lecteurs possèdent-ils une connaissance enfouie de la typographie ? Comment est-il possible de lire sans voir la lettre ? À partir de ces deux questions de fond, Gerard Unger explore des sujets comme la lisibilité, le processus de lecture, la typographie « invisible », la reconnaissance du motif, l’ergonomie du dessin de la lettre, l’univers des signes, les contreformes et les illusions typographiques. Pendant la lecture [texte imprimé] / Gérard Unger, Auteur ; André Verkaeren, Traducteur . - Paris : B42, 2015 . - 230 p.-[12] f. de pl. : ill. en noir ; 24 cm.
ISBN : 978-2-917855-61-4
Bibliogr. p. 219-223. Index
Langues : Français Langues originales : Néerlandais
Catégories : Lecture
Lecture-- Aspect psychologiqueRésumé : Que se passe-t-il pendant qu’on lit ? Gerard Unger étudie dans cet ouvrage ce qui se produit pendant la lecture – devant nos yeux et à l’intérieur de nous. Selon lui, les concepteurs devraient en toutes circonstances considérer deux questions essentielles : dans quelle mesure les lecteurs possèdent-ils une connaissance enfouie de la typographie ? Comment est-il possible de lire sans voir la lettre ? À partir de ces deux questions de fond, Gerard Unger explore des sujets comme la lisibilité, le processus de lecture, la typographie « invisible », la reconnaissance du motif, l’ergonomie du dessin de la lettre, l’univers des signes, les contreformes et les illusions typographiques. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017231 745.6 UNG Livre Médiathèque Fonds général Disponible La gentrification des esprits / Sarah Schulman
Titre : La gentrification des esprits : témoin d'un imaginaire perdu Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Schulman (1958-....), Auteur ; Émilie Notéris (1978-....), Traducteur ; Vanina Géré, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Paris : B42 Année de publication : 2018 Collection : Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906 num. 2 Importance : 1 vol. (166 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-490-07704-5 Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Embourgeoisement (urbanisme)
Récits personnels
Sida
Vie artistiqueRésumé : Sarah Schulman raconte comment l'activisme d'Act up contribua dans les années 1980 et 1990 à faire disparaître la culture rebelle queer et le mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan au profit des porte-parole gays conservateurs et du consumérisme de masse. L'autrice rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. La gentrification des esprits : témoin d'un imaginaire perdu [texte imprimé] / Sarah Schulman (1958-....), Auteur ; Émilie Notéris (1978-....), Traducteur ; Vanina Géré, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : B42, 2018 . - 1 vol. (166 p.) ; 22 cm. - (Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906; 2) .
ISBN : 978-2-490-07704-5
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Embourgeoisement (urbanisme)
Récits personnels
Sida
Vie artistiqueRésumé : Sarah Schulman raconte comment l'activisme d'Act up contribua dans les années 1980 et 1990 à faire disparaître la culture rebelle queer et le mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan au profit des porte-parole gays conservateurs et du consumérisme de masse. L'autrice rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018021 306 SCH Livre Médiathèque Fonds général Disponible L'Institut de l'environnement / Tony Côme
Titre : L'Institut de l'environnement : une école décloisonnée ; urbanisme, architecture, design, communication Type de document : texte imprimé Auteurs : Tony Côme (1986-....), Auteur ; Jean-Louis Violeau, Préfacier, etc. Editeur : Paris : B42 Année de publication : 2017 Importance : 1 vol. (207 p.) Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-917855-74-4 Langues : Français Catégories : Institut de l'environnement (France) Résumé : En 1968, la Hochschule fu¨r Gestaltung d'Ulm, école allemande que l'on présente comme la principale héritière du Bauhaus, est menacée de fermeture. L'idée de son possible transfert à Paris émerge alors sous le nom d'« Institut de l'environnement ». Un bâtiment, élaboré par Robert Joly avec la complicité de Jean Prouvé, est inauguré un an plus tard, rue Érasme, sur le terrain de l'École nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD). Voulue par André Malraux, cette nouvelle institution aux allures de laboratoire pédagogique revendique une orientation pluridisciplinaire totalement singulière dans le paysage français. Des praticiens d'horizons différents y évoluent : accompagnés par un « collège d'enseignants-chercheurs », de jeunes urbanistes, architectes, designers industriels, spécialistes en communication visuelle et théoriciens en sciences humaines apprennent à collaborer dans la perspective d'améliorer l'aménagement du cadre de vie. Deux promotions de quatre-vingts « stagiaires », dont l'artiste Daniel Dezeuze et le collectif de graphistes Grapus font partie, garderont un souvenir ému de cette aventure. L'école fut démantelée dès l'été 1971,. Reconfiguré en un centre de recherche spécialisé, cloisonné et le bâtiment Érasme fut finalement récupéré par l'ENSAD en 1975 et détruit au début des années 1990, malgré un projet de réhabilitation esquissé par Roger Tallon. Fruit d'une longue enquête, nourri par des documents d'archives inédits ainsi que par de nombreux témoignages d'anciens acteurs de l'Institut de l'environnement, l'ouvrage de Tony Côme propose de revenir en détail sur l'histoire de cette expérience institutionnelle exceptionnelle. L'Institut de l'environnement : une école décloisonnée ; urbanisme, architecture, design, communication [texte imprimé] / Tony Côme (1986-....), Auteur ; Jean-Louis Violeau, Préfacier, etc. . - Paris : B42, 2017 . - 1 vol. (207 p.) : ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-917855-74-4
Langues : Français
Catégories : Institut de l'environnement (France) Résumé : En 1968, la Hochschule fu¨r Gestaltung d'Ulm, école allemande que l'on présente comme la principale héritière du Bauhaus, est menacée de fermeture. L'idée de son possible transfert à Paris émerge alors sous le nom d'« Institut de l'environnement ». Un bâtiment, élaboré par Robert Joly avec la complicité de Jean Prouvé, est inauguré un an plus tard, rue Érasme, sur le terrain de l'École nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD). Voulue par André Malraux, cette nouvelle institution aux allures de laboratoire pédagogique revendique une orientation pluridisciplinaire totalement singulière dans le paysage français. Des praticiens d'horizons différents y évoluent : accompagnés par un « collège d'enseignants-chercheurs », de jeunes urbanistes, architectes, designers industriels, spécialistes en communication visuelle et théoriciens en sciences humaines apprennent à collaborer dans la perspective d'améliorer l'aménagement du cadre de vie. Deux promotions de quatre-vingts « stagiaires », dont l'artiste Daniel Dezeuze et le collectif de graphistes Grapus font partie, garderont un souvenir ému de cette aventure. L'école fut démantelée dès l'été 1971,. Reconfiguré en un centre de recherche spécialisé, cloisonné et le bâtiment Érasme fut finalement récupéré par l'ENSAD en 1975 et détruit au début des années 1990, malgré un projet de réhabilitation esquissé par Roger Tallon. Fruit d'une longue enquête, nourri par des documents d'archives inédits ainsi que par de nombreux témoignages d'anciens acteurs de l'Institut de l'environnement, l'ouvrage de Tony Côme propose de revenir en détail sur l'histoire de cette expérience institutionnelle exceptionnelle. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018251 707 COM Livre Médiathèque Fonds général Disponible Art queer / Renate Lorenz
Titre : Art queer : une théorie freak ; Amanda Baggs, Pauline Boudry, Bob Flanagan, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes, Zoe Leonard, Henrik Olesen, Jack Smith, Shinique Smith, Wu Tsang et Ron Vawter Type de document : texte imprimé Auteurs : Renate Lorenz (1963-....), Auteur ; Marie-Mathilde Bortolotti, Traducteur ; Isabelle Alfonsi (1979-....), Editeur scientifique Editeur : Paris : B42 Année de publication : 2018 Collection : Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906 num. 1 Importance : 1 vol. (197 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-917855-93-5 Note générale : L'ouvrage repose sur une conférence tenue à Berlin les 28-30 août 2009
Bibliogr. p. 189-196Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Art de performance
Déconstruction
Homosexualité et art
Théorie queerIndex. décimale : 700.103 Résumé : Art queer s'intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l'écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s'associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l'art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d'agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d'objets historiques par affinité. L'art queer cultive l'anachronisme comme méthode. En s'appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l'histoire de l'art, que la manifestation d'une méthode, que l'auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d'assemblages, « des connections productives entre le naturel et l'artificiel, l'animé et l'inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter ». Parmi les artistes étudié·e·s figurent notamment Zoe Leonard, Shinique Smith, Jack Smith, Wu Tsang, Ron Vawter, Bob Flanagan, Henrik Olesen, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes et Pauline Boudry/Renate Lorenz. Art queer : une théorie freak ; Amanda Baggs, Pauline Boudry, Bob Flanagan, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes, Zoe Leonard, Henrik Olesen, Jack Smith, Shinique Smith, Wu Tsang et Ron Vawter [texte imprimé] / Renate Lorenz (1963-....), Auteur ; Marie-Mathilde Bortolotti, Traducteur ; Isabelle Alfonsi (1979-....), Editeur scientifique . - Paris : B42, 2018 . - 1 vol. (197 p.) : ill. en coul. ; 22 cm. - (Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906; 1) .
ISBN : 978-2-917855-93-5
L'ouvrage repose sur une conférence tenue à Berlin les 28-30 août 2009
Bibliogr. p. 189-196
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Art de performance
Déconstruction
Homosexualité et art
Théorie queerIndex. décimale : 700.103 Résumé : Art queer s'intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l'écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s'associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l'art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d'agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d'objets historiques par affinité. L'art queer cultive l'anachronisme comme méthode. En s'appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l'histoire de l'art, que la manifestation d'une méthode, que l'auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d'assemblages, « des connections productives entre le naturel et l'artificiel, l'animé et l'inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter ». Parmi les artistes étudié·e·s figurent notamment Zoe Leonard, Shinique Smith, Jack Smith, Wu Tsang, Ron Vawter, Bob Flanagan, Henrik Olesen, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes et Pauline Boudry/Renate Lorenz. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018704 701 LOR Livre Médiathèque Fonds général Sorti jusqu'au 16/07/2024 Pour une esthétique de l'émancipation / Isabelle Alfonsi
Titre : Pour une esthétique de l'émancipation : construire les lignées d'un art queer Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Alfonsi (1979-....), Auteur Editeur : Paris : B42 Année de publication : 2019 Collection : Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906 num. 4 Importance : 1 vol. (159 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-490-07713-7 Note générale : Ouvrage publ. dans le cadre des conférences données au Centre d'art contemporain d'Ivry-le Crédac
Bibliogr. p. 153-157. Glossaire. IndexLangues : Français Catégories : Art minimal
Études sur le genre
Féminisme et art
Identité sexuelle
Théorie queerRésumé : Loin de relire l'histoire de l'art en lui appliquant de façon anachronique le terme « queer », utilisé positivement dans les milieux militants depuis la fin des années 1980, Pour une esthétique de l'émancipation cherche à montrer comment l'écriture de l'Histoire de l'art a minoré l'importance des engagements politiques et affectifs des artistes et rendu inopérante la portée sociale de leurs oeuvres. En imaginant des amitiés inédites entre des artistes du passé, Isabelle Alfonsi fait émerger une lignée féministe et queer pour l'art contemporain. Des pratiques artistiques du XXe siècle sont ainsi replacées dans le contexte du militantisme de défense des droits des homosexuel.le.s et de la formation d'une critique radicale féministe et anticapitaliste. Claude Cahun et Michel Journiac croisent l'histoire du minimalisme états-unien, vu à travers Lynda Benglis, Lucy Lippard ou Yvonne Rainer. Les guerres de représentation menées pendant la crise du sida sont lues au prisme des oeuvres de Felix Gonzalez-Torres, du concept de désidentification de José E. Muñoz et de l'activisme culturel du groupe Boy/Girl with Arms Akimbo, dans le San Francisco des années 1980. Pour une esthétique de l'émancipation : construire les lignées d'un art queer [texte imprimé] / Isabelle Alfonsi (1979-....), Auteur . - Paris : B42, 2019 . - 1 vol. (159 p.) : ill. ; 22 cm. - (Culture (Paris. 2018), ISSN 2645-9906; 4) .
ISBN : 978-2-490-07713-7
Ouvrage publ. dans le cadre des conférences données au Centre d'art contemporain d'Ivry-le Crédac
Bibliogr. p. 153-157. Glossaire. Index
Langues : Français
Catégories : Art minimal
Études sur le genre
Féminisme et art
Identité sexuelle
Théorie queerRésumé : Loin de relire l'histoire de l'art en lui appliquant de façon anachronique le terme « queer », utilisé positivement dans les milieux militants depuis la fin des années 1980, Pour une esthétique de l'émancipation cherche à montrer comment l'écriture de l'Histoire de l'art a minoré l'importance des engagements politiques et affectifs des artistes et rendu inopérante la portée sociale de leurs oeuvres. En imaginant des amitiés inédites entre des artistes du passé, Isabelle Alfonsi fait émerger une lignée féministe et queer pour l'art contemporain. Des pratiques artistiques du XXe siècle sont ainsi replacées dans le contexte du militantisme de défense des droits des homosexuel.le.s et de la formation d'une critique radicale féministe et anticapitaliste. Claude Cahun et Michel Journiac croisent l'histoire du minimalisme états-unien, vu à travers Lynda Benglis, Lucy Lippard ou Yvonne Rainer. Les guerres de représentation menées pendant la crise du sida sont lues au prisme des oeuvres de Felix Gonzalez-Torres, du concept de désidentification de José E. Muñoz et de l'activisme culturel du groupe Boy/Girl with Arms Akimbo, dans le San Francisco des années 1980. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019395 701 ALF Livre Médiathèque Fonds général Disponible Oiseaux / Jochen Gerner
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