Perception visuelle

Ce que nous voyons, ce qui nous regarde / Georges Didi-Huberman

Public ISBD Titre : Ce que nous voyons, ce qui nous regarde Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1992 Collection : Critique Importance : 1 vol. (208 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1429-1 Langues : Français Catégories : Esthétique Esthétique de la réception Perception visuelle Regard Résumé : Ce que nous voyons ne vaut – ne vit – que par ce qui nous regarde. Si cela est vrai, comment penser les conditions esthétiques, épistémiques, voire éthiques, d’une telle proposition ? C’est ce que tente de développer ce livre, tissé comme une fable philosophique de l’expérience visuelle. Nous y trouvons deux figures emblématiques, opposées dans un perpétuel dilemme. D’un côté, l’homme de la vision croyante, celui qui fait sienne, peu ou prou, la parole de l’évangéliste devant le tombeau vide du Christ : “ Il vit, et il crut ”. D’un autre côté, l’homme de la vision tautologique, qui prétend assurer son regard dans une certitude close, apparemment sans faille et confinant au cynisme : “ Ce que vous voyez, c’est ce que vous voyez ” comme disait le peintre Frank Stella dans les années soixante, pour justifier une attitude esthétique qualifiée de “minimaliste”. Mais ce dilemme – constamment entretenu dans nos façons usuelles d’envisager le monde visible en général, et celui des œuvres d’art en particulier – est un mauvais dilemme. Il demande à être dépassé, il demande à être dialectisé. Comment, alors, regarder sans croire ? Et comment regarder au fond sans prétendre nous en tenir aux certitudes de ce que nous voyons ? Entre deux paraboles littéraires empruntées à Joyce et à Kafka, c’est devant la plus simple image qu’une sculpture puisse offrir que la réponse à ces questions tente de s’élaborer. Un cube, un grand cube noir du sculpteur Tony Smith, révèle peu à peu son pouvoir de fascination, son inquiétante étrangeté, son intensité. Le regarder, c’est repenser le rapport de la forme et de la présence, de l’abstraction géométrique et de l’anthropomorphisme. C’est mieux comprendre la dialectique du volume et du vide, et la distance paradoxale devant laquelle il nous tient en respect. Mais il aura fallu, pour l’appréhender, établir une notion plus fine de l’“image dialectique”, revisiter celle d’aura – prise à Walter Benjamin – ; et mieux comprendre pourquoi ce que nous voyons devant nous regarde toujours dedans. L’enjeu de tout cela : une anthropologie de la forme, une métapsychologie de l’image. [résumé de l'éditeur] Ce que nous voyons, ce qui nous regarde [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1992 . - 1 vol. (208 p.) : ill. ; 22 cm. - (Critique) . ISBN : 978-2-7073-1429-1 Langues : Français Catégories : Esthétique Esthétique de la réception Perception visuelle Regard Résumé : Ce que nous voyons ne vaut – ne vit – que par ce qui nous regarde. Si cela est vrai, comment penser les conditions esthétiques, épistémiques, voire éthiques, d’une telle proposition ? C’est ce que tente de développer ce livre, tissé comme une fable philosophique de l’expérience visuelle. Nous y trouvons deux figures emblématiques, opposées dans un perpétuel dilemme. D’un côté, l’homme de la vision croyante, celui qui fait sienne, peu ou prou, la parole de l’évangéliste devant le tombeau vide du Christ : “ Il vit, et il crut ”. D’un autre côté, l’homme de la vision tautologique, qui prétend assurer son regard dans une certitude close, apparemment sans faille et confinant au cynisme : “ Ce que vous voyez, c’est ce que vous voyez ” comme disait le peintre Frank Stella dans les années soixante, pour justifier une attitude esthétique qualifiée de “minimaliste”. Mais ce dilemme – constamment entretenu dans nos façons usuelles d’envisager le monde visible en général, et celui des œuvres d’art en particulier – est un mauvais dilemme. Il demande à être dépassé, il demande à être dialectisé. Comment, alors, regarder sans croire ? Et comment regarder au fond sans prétendre nous en tenir aux certitudes de ce que nous voyons ? Entre deux paraboles littéraires empruntées à Joyce et à Kafka, c’est devant la plus simple image qu’une sculpture puisse offrir que la réponse à ces questions tente de s’élaborer. Un cube, un grand cube noir du sculpteur Tony Smith, révèle peu à peu son pouvoir de fascination, son inquiétante étrangeté, son intensité. Le regarder, c’est repenser le rapport de la forme et de la présence, de l’abstraction géométrique et de l’anthropomorphisme. C’est mieux comprendre la dialectique du volume et du vide, et la distance paradoxale devant laquelle il nous tient en respect. Mais il aura fallu, pour l’appréhender, établir une notion plus fine de l’“image dialectique”, revisiter celle d’aura – prise à Walter Benjamin – ; et mieux comprendre pourquoi ce que nous voyons devant nous regarde toujours dedans. L’enjeu de tout cela : une anthropologie de la forme, une métapsychologie de l’image. [résumé de l'éditeur]

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001004	701 DID	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Le Genre humain (Paris), 60. Le Rêve des formes / Alain Fleischer

Public ISBD Titre de série : Le Genre humain (Paris), 60 Titre : Le Rêve des formes : Arts, sciences & Cie Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Fleischer, Editeur scientifique ; Alain Prochiantz, Editeur scientifique ; Ada Ackerman, Auteur ; Arnaud Petit (1974-....), Auteur ; Catherine Perret, Auteur ; Philippe Manoury, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2019 Autre Editeur : Tourcoing : Le Fresnoy-Studio national des arts contemporains Importance : 1 vol. (223 p.) Présentation : ill. en noir, couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-142016-6 Note générale : Catalogue publié à l'occasion des journées d'études et de l'exposition Le rêve des formes au Palais de Tokyo en 2017. Langues : Français Catégories : Art et sciences Cerveau Deligny, Fernand (1913-1996) Golem Perception (philosophie) Perception des formes Perception visuelle Représentation (esthétique) Rêves Robots -- Dans l'art Son Résumé : Une oeuvre d’art est, presque toujours, l’oeuvre d’un artiste, même s’il s’agit d’un« ready made », et celui qui la perçoit le fait aussi en tant que sujet. Ce qui rend toute oeuvre d’art inépuisable. C’est même peut-être à cela qu’on la reconnaît. On ne voit, lit, entend jamais deux fois la même oeuvre. La question est différente pour les scientifiques qui, depuis Galilée et le « grand livre de la nature écrit en langage mathématique », déchiffrent ledit livre sans que le sujet n’intervienne autrement que par son habileté de déchiffreur. La vérité est dévoilée et existe indépendamment du sujet qui la dévoile puisque c’est la nature qui se dévoile. L’allégorie a traversé le xixe siècle et reste bien vivante. Même si, on le constate très souvent, le voile montre parfois plus que le dévoilement. Alain Prochiantz Qu’est-ce qu’une forme et pourquoi s’y intéresser aujourd’hui ? Si l’on se réfère au sens commun, une forme est un ensemble de traits caractéristiques – visuels, sonores, tactiles – qui permettent à une réalité physique d’être conçue, puis perçue. S’adressant à nos sens ou se constituant dans notre imagination, parfois à notre insu comme lors des rêves, les formes semblent être des entités premières, auxquelles ont à faire tous les champs du savoir et de la création. Les formes se meuvent, se déforment, s’érodent, se régénèrent. Nombreux et difficilement définissables sont les passages de la forme au difforme, du difforme à l’informe. Existe-t-il des formes qu’on ne peut nommer ? Et, à l’inverse, la langue est-elle capable d’émettre des énoncés qui n’évoquent aucune forme ? À quoi nous font rêver les formes ? À quelles formes rêvons-nous ? En interrogeant ainsi le rêve que peuvent susciter les formes, peut-être serions-nous tentés d’anticiper le moment où celles-ci, libérées de leur référent, devenues des signes dépourvus de sens, se mettraient elles-mêmes à rêver. On pourrait se demander alors : « À quoi rêvent les formes ? Quel est le rêve des formes ? ». Alain Fleischer [4e de couv.] Le Genre humain (Paris), 60. Le Rêve des formes : Arts, sciences & Cie [texte imprimé] / Alain Fleischer, Editeur scientifique ; Alain Prochiantz, Editeur scientifique ; Ada Ackerman, Auteur ; Arnaud Petit (1974-....), Auteur ; Catherine Perret, Auteur ; Philippe Manoury, Auteur . - Paris : Seuil : Tourcoing : Le Fresnoy-Studio national des arts contemporains, 2019 . - 1 vol. (223 p.) : ill. en noir, couv. ill. en coul. ; 23 cm. ISBN : 978-2-02-142016-6 Catalogue publié à l'occasion des journées d'études et de l'exposition Le rêve des formes au Palais de Tokyo en 2017. Langues : Français Catégories : Art et sciences Cerveau Deligny, Fernand (1913-1996) Golem Perception (philosophie) Perception des formes Perception visuelle Représentation (esthétique) Rêves Robots -- Dans l'art Son Résumé : Une oeuvre d’art est, presque toujours, l’oeuvre d’un artiste, même s’il s’agit d’un« ready made », et celui qui la perçoit le fait aussi en tant que sujet. Ce qui rend toute oeuvre d’art inépuisable. C’est même peut-être à cela qu’on la reconnaît. On ne voit, lit, entend jamais deux fois la même oeuvre. La question est différente pour les scientifiques qui, depuis Galilée et le « grand livre de la nature écrit en langage mathématique », déchiffrent ledit livre sans que le sujet n’intervienne autrement que par son habileté de déchiffreur. La vérité est dévoilée et existe indépendamment du sujet qui la dévoile puisque c’est la nature qui se dévoile. L’allégorie a traversé le xixe siècle et reste bien vivante. Même si, on le constate très souvent, le voile montre parfois plus que le dévoilement. Alain Prochiantz Qu’est-ce qu’une forme et pourquoi s’y intéresser aujourd’hui ? Si l’on se réfère au sens commun, une forme est un ensemble de traits caractéristiques – visuels, sonores, tactiles – qui permettent à une réalité physique d’être conçue, puis perçue. S’adressant à nos sens ou se constituant dans notre imagination, parfois à notre insu comme lors des rêves, les formes semblent être des entités premières, auxquelles ont à faire tous les champs du savoir et de la création. Les formes se meuvent, se déforment, s’érodent, se régénèrent. Nombreux et difficilement définissables sont les passages de la forme au difforme, du difforme à l’informe. Existe-t-il des formes qu’on ne peut nommer ? Et, à l’inverse, la langue est-elle capable d’émettre des énoncés qui n’évoquent aucune forme ? À quoi nous font rêver les formes ? À quelles formes rêvons-nous ? En interrogeant ainsi le rêve que peuvent susciter les formes, peut-être serions-nous tentés d’anticiper le moment où celles-ci, libérées de leur référent, devenues des signes dépourvus de sens, se mettraient elles-mêmes à rêver. On pourrait se demander alors : « À quoi rêvent les formes ? Quel est le rêve des formes ? ». Alain Fleischer [4e de couv.]

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019013	701 FLE	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Jérémie Setton / Jérémie Setton

Public ISBD Titre : Jérémie Setton : Avec méthode (ou pas) [15 décembre 2021] Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jérémie Setton, Artiste Année de publication : 2021 Importance : 1 fichier video format MP4; 00:43:47 Format : 1280 x 720 Note générale : La présentation a eu lieu le 15 décembre 2021 à 13h30 à la médiathèque de l'ESAAIX. Langues : Français Catégories : Censure Perception visuelle Résidences d'artistes Vietnam Résumé : « Quelle méthode adopter lorsqu’on débute une résidence d’artiste ; qui plus est à l’autre bout du monde, dans une culture différente, un environnement inconnu, une langue absolument étrangère et avec 4 semaines pour concevoir une exposition sur le fond et sur la forme ? En 2013, parfaitement non préparé, j’ai tenté de trouver des réponses à cette question lorsque je me suis retrouvé au Vietnam dans l’effervescence de la sublime et animée ville d’Ho Chi Minh. Naïf, je ne m’attendais pas, en plus du choc culturel, à rencontrer la censure qui m’obligea à modifier totalement mon projet à mi-parcours. Le temps presse, tout va très vite, à commencer par les 9 millions d’habitants et presque autant de scooters qui se croisent, s’entrelacent, sans jamais poser le pied. Il faut me fondre dans cette chorégraphie du quotidien empreinte de contrastes, de communisme, de libéralisme économique et de cultes aux ancêtres… Une expérience fondatrice dans mon parcours artistique et personnel ». Jérémie Setton : Avec méthode (ou pas) [15 décembre 2021] [document projeté ou vidéo] / Jérémie Setton, Artiste . - 2021 . - 1 fichier video format MP4; 00:43:47 ; 1280 x 720. La présentation a eu lieu le 15 décembre 2021 à 13h30 à la médiathèque de l'ESAAIX. Langues : Français Catégories : Censure Perception visuelle Résidences d'artistes Vietnam Résumé : « Quelle méthode adopter lorsqu’on débute une résidence d’artiste ; qui plus est à l’autre bout du monde, dans une culture différente, un environnement inconnu, une langue absolument étrangère et avec 4 semaines pour concevoir une exposition sur le fond et sur la forme ? En 2013, parfaitement non préparé, j’ai tenté de trouver des réponses à cette question lorsque je me suis retrouvé au Vietnam dans l’effervescence de la sublime et animée ville d’Ho Chi Minh. Naïf, je ne m’attendais pas, en plus du choc culturel, à rencontrer la censure qui m’obligea à modifier totalement mon projet à mi-parcours. Le temps presse, tout va très vite, à commencer par les 9 millions d’habitants et presque autant de scooters qui se croisent, s’entrelacent, sans jamais poser le pied. Il faut me fondre dans cette chorégraphie du quotidien empreinte de contrastes, de communisme, de libéralisme économique et de cultes aux ancêtres… Une expérience fondatrice dans mon parcours artistique et personnel ».

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2021-12 Avec méthode (ou pas) Jérémie Setton	2021-12 Avec méthode (ou pas) Jérémie Setton	Disque dur externe	Médiathèque	Archives : conférences	Disponible

Mémoires 5° année, 2021/2022. Profondeur bleue, un monde sous nos yeux / Hanlin Yang

Public ISBD Titre de série : Mémoires 5° année, 2021/2022 Titre : Profondeur bleue, un monde sous nos yeux Type de document : texte imprimé Auteurs : Hanlin Yang, Auteur ; Emma Bigé, Directeur de la recherche Editeur : Aix-en-Provence : École supérieure d'art d'Aix-en-Provence Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (105p.) + 1 boitier Format : 20,8 cm Langues : Français Catégories : Aveugles Perception visuelle Sens et sensations Vision Résumé : Une étude autour de la cécité du point de vue social, phénoménologique, artistique et expérimental. Mémoires 5° année, 2021/2022. Profondeur bleue, un monde sous nos yeux [texte imprimé] / Hanlin Yang, Auteur ; Emma Bigé, Directeur de la recherche . - Aix-en-Provence : École supérieure d'art d'Aix-en-Provence, 2022 . - 1 vol. (105p.) + 1 boitier ; 20,8 cm. Langues : Français Catégories : Aveugles Perception visuelle Sens et sensations Vision Résumé : Une étude autour de la cécité du point de vue social, phénoménologique, artistique et expérimental.

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020301	MEM YAN 2022	Livre	Médiathèque	Fonds des mémoires	Consultation sur place Exclu du prêt

Portes closes et oeuvres invisibles / Denys Riout

Public ISBD Titre : Portes closes et oeuvres invisibles Type de document : texte imprimé Auteurs : Denys Riout, Auteur Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (359 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-278568-9 Langues : Français Catégories : Art conceptuel Perception visuelle Index. décimale : 701.18 Résumé : Panorama historique d'oeuvres d'art qui sont demeurées invisibles au large public non en raison d'une perte ou d'une destruction mais par la volonté de leur créateur qui a choisi sciemment de les dissimuler au regard. Certaines de ces oeuvres sollicitent d'autres sens, d'autres ne sont accessibles qu'un court laps de temps mais toutes questionnent le rapport aux arts visuels. Portes closes et oeuvres invisibles [texte imprimé] / Denys Riout, Auteur . - 2019 . - 1 vol. (359 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-07-278568-9 Langues : Français Catégories : Art conceptuel Perception visuelle Index. décimale : 701.18 Résumé : Panorama historique d'oeuvres d'art qui sont demeurées invisibles au large public non en raison d'une perte ou d'une destruction mais par la volonté de leur créateur qui a choisi sciemment de les dissimuler au regard. Certaines de ces oeuvres sollicitent d'autres sens, d'autres ne sont accessibles qu'un court laps de temps mais toutes questionnent le rapport aux arts visuels.

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018734	701.18 RIO	Livre	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Robert Breer / Yann Beauvais ; Lionel Bovier ; Laura Hoptman ; Robert Breer

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Le supermarché des images / Peter Szendy

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Syrinx / Joséphine Michel

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Techniques de l'observateur / Jonathan Crary

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