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Le Condottière / Georges Perec
Titre : Le Condottière : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Perec, Auteur ; Claude Burgelin (1940-....), Préfacier, etc. Editeur : [Paris] : Éd. du Seuil Année de publication : 2012 Collection : La Librairie du XXIe siècle, ISSN 1628-5255 Importance : 1 vol. (202 p.) Présentation : jaquette ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-103053-2 Langues : Français Catégories : Copie
Imitation (art)
Littérature -- 20e siècle
Perec, Georges (1936-1982)
RomanIndex. décimale : 803 Résumé : Du Condottière, Perec dit qu’il est « le premier roman abouti » qu’il parvint à écrire. Plus d’un demi-siècle après sa rédaction (1957-1960), trente ans après la mort de Perec, le 3 mars 1982, on va pouvoir enfin découvrir cette œuvre de jeunesse, égarée puis miraculeusement retrouvée. Gaspard Winckler, le héros de ce roman, s’est voué depuis des mois à réaliser un faux Condottière qui rivalise à tout point de vue avec celui du Louvre, peint par Antonello de Messine en 1475. Prince des faussaires, il n’est pourtant que le simple exécutant d’un commanditaire, Anatole Madera. Tel un roman policier, la première page du livre s’ouvre sur l’assassinat de Madera par Winckler. Pourquoi ce meurtre ? Pourquoi Gaspard Winckler a-t-il échoué dans son projet d’égaler Antonello de Messine ? Que cherchait-il en devenant un virtuose du faux ? Que voulait-il capter dans l’image de maîtrise et d’énergie donnée par le visage de ce guerrier ? Pourquoi vit-il l’assassinat de Madera comme une libération ? Le thème du faux parcourt toute l’œuvre de Perec. Le personnage de fiction nommé Gaspard Winckler apparaît dans La Vie mode d’emploi et W ou le souvenir d’enfance. Le dernier roman publié du vivant de Perec, Un cabinet d’amateur, est une éblouissante construction autour des sortilèges de la copie et du faux. Le Condottière : roman [texte imprimé] / Georges Perec, Auteur ; Claude Burgelin (1940-....), Préfacier, etc. . - [Paris] : Éd. du Seuil, 2012 . - 1 vol. (202 p.) : jaquette ill. en coul. ; 23 cm. - (La Librairie du XXIe siècle, ISSN 1628-5255) .
ISBN : 978-2-02-103053-2
Langues : Français
Catégories : Copie
Imitation (art)
Littérature -- 20e siècle
Perec, Georges (1936-1982)
RomanIndex. décimale : 803 Résumé : Du Condottière, Perec dit qu’il est « le premier roman abouti » qu’il parvint à écrire. Plus d’un demi-siècle après sa rédaction (1957-1960), trente ans après la mort de Perec, le 3 mars 1982, on va pouvoir enfin découvrir cette œuvre de jeunesse, égarée puis miraculeusement retrouvée. Gaspard Winckler, le héros de ce roman, s’est voué depuis des mois à réaliser un faux Condottière qui rivalise à tout point de vue avec celui du Louvre, peint par Antonello de Messine en 1475. Prince des faussaires, il n’est pourtant que le simple exécutant d’un commanditaire, Anatole Madera. Tel un roman policier, la première page du livre s’ouvre sur l’assassinat de Madera par Winckler. Pourquoi ce meurtre ? Pourquoi Gaspard Winckler a-t-il échoué dans son projet d’égaler Antonello de Messine ? Que cherchait-il en devenant un virtuose du faux ? Que voulait-il capter dans l’image de maîtrise et d’énergie donnée par le visage de ce guerrier ? Pourquoi vit-il l’assassinat de Madera comme une libération ? Le thème du faux parcourt toute l’œuvre de Perec. Le personnage de fiction nommé Gaspard Winckler apparaît dans La Vie mode d’emploi et W ou le souvenir d’enfance. Le dernier roman publié du vivant de Perec, Un cabinet d’amateur, est une éblouissante construction autour des sortilèges de la copie et du faux. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 020488 800 PER Livre Médiathèque Fonds général Disponible Pourquoi la fiction ? / Jean-Marie Schaeffer
Titre : Pourquoi la fiction ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Schaeffer, Auteur Editeur : Paris : Ed. du Seuil Année de publication : 1999 Collection : Poétique Importance : 1 vol. (346 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-034708-2 Langues : Français Catégories : Cadre du récit
Esthétique
Imaginaire (philosophie)
Imitation (art)
Réalité virtuelle
Représentation (esthétique)Résumé : Jamais l’humanité n’a consommé autant de fictions que de nos jours, et jamais elle n’a disposé d’autant de techniques différentes pour étancher cette soif d’univers imaginaires. En même temps, comme en témoignent les débats autour des « réalités virtuelles », nous continuons à vivre à l’ombre du soupçon platonicien : la mimèsis n’est-elle pas au mieux une vaine apparence, au pire un leurre dangereux ? Pour répondre au soupçon antimimétique et mieux comprendre l’attrait universel des fictions, il faut remonter au fondement anthropologique du dispositif fonctionnel. On découvre alors que la fonction est une conquête culturelle indissociable de l’humanisation, et que la compétence fictionnelle joue un rôle indispensable dans l’économie de nos représentations mentales. Quant aux univers fictifs, loin d’être des apparences illusoires ou des constructions mensongères, ils sont une des faces majeures de notre rapport au réel. Et cela vaut pour toute fiction. Les œuvres d’art mimétiques ne s’opposent donc pas aux formes quotidiennes plus humbles de l’activité fictionnelle : elle en sont le prolongement naturel. [4e de couv.] Pourquoi la fiction ? [texte imprimé] / Jean-Marie Schaeffer, Auteur . - Paris : Ed. du Seuil, 1999 . - 1 vol. (346 p.) ; 21 cm. - (Poétique) .
ISBN : 978-2-02-034708-2
Langues : Français
Catégories : Cadre du récit
Esthétique
Imaginaire (philosophie)
Imitation (art)
Réalité virtuelle
Représentation (esthétique)Résumé : Jamais l’humanité n’a consommé autant de fictions que de nos jours, et jamais elle n’a disposé d’autant de techniques différentes pour étancher cette soif d’univers imaginaires. En même temps, comme en témoignent les débats autour des « réalités virtuelles », nous continuons à vivre à l’ombre du soupçon platonicien : la mimèsis n’est-elle pas au mieux une vaine apparence, au pire un leurre dangereux ? Pour répondre au soupçon antimimétique et mieux comprendre l’attrait universel des fictions, il faut remonter au fondement anthropologique du dispositif fonctionnel. On découvre alors que la fonction est une conquête culturelle indissociable de l’humanisation, et que la compétence fictionnelle joue un rôle indispensable dans l’économie de nos représentations mentales. Quant aux univers fictifs, loin d’être des apparences illusoires ou des constructions mensongères, ils sont une des faces majeures de notre rapport au réel. Et cela vaut pour toute fiction. Les œuvres d’art mimétiques ne s’opposent donc pas aux formes quotidiennes plus humbles de l’activité fictionnelle : elle en sont le prolongement naturel. [4e de couv.] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001094 801 SCH Livre Médiathèque Fonds général Disponible La ressemblance par contact / Georges Didi-Huberman
Titre : La ressemblance par contact : archéologie, anachronisme et modernité de l'empreinte Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2008 Collection : Paradoxe Importance : 1 vol. (379 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-2036-0 Langues : Français Catégories : Art
Empreinte (art)
Imitation (art)
Moulage (sculpture)Résumé : "Pourquoi les artistes modernes et contemporains ont-ils, aussi obstinément, exploré et utilisé les ressources de l'empreinte, cette façon en quelque sorte préhistorique d’engendrer les formes ? - En quoi le jeu, apparemment si simple, de l’organe (la main…), du geste (enfoncer…) et de la matière (le plâtre…) accède-t-il à la complexité d’une technique et d’une pensée de la procédure ? – En quoi cette technique, qui d’abord suppose le contact, transforme-t-elle les conditions fondamentales de la ressemblance et de la représentation ? – À quel genre d’érotisme ce travail du contact donne-t-il lieu ? – Quelle sorte de mémoire et de présent, quelle sorte d’anachronisme l’empreinte propose-t-elle à l’histoire de l’art aujourd’hui ? À ces questions le présent essai tente de répondre en retraçant une histoire synoptique de l’empreinte, mais aussi en modifiant nos façons habituelles de regarder l’image dans sa singularité : depuis le modèle optique, voire métaphysique, de l’imitation obtenue vers celui, tactile et technique, de son travail en acte. Cela pour modifier nos façons habituelles de comprendre chaque œuvre d’art – celle de Marcel Duchamp prise ici comme cas exemplaire – dans son historicité : depuis le modèle déductif qui peut nous faire imaginer un mouvement de progrès du modernisme au postmodernisme, vers un modèle plus complexe qui tient compte des intrications de temporalités hétérogènes dont toute image est faite."
La ressemblance par contact : archéologie, anachronisme et modernité de l'empreinte [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2008 . - 1 vol. (379 p.) : ill. ; 22 cm. - (Paradoxe) .
ISBN : 978-2-7073-2036-0
Langues : Français
Catégories : Art
Empreinte (art)
Imitation (art)
Moulage (sculpture)Résumé : "Pourquoi les artistes modernes et contemporains ont-ils, aussi obstinément, exploré et utilisé les ressources de l'empreinte, cette façon en quelque sorte préhistorique d’engendrer les formes ? - En quoi le jeu, apparemment si simple, de l’organe (la main…), du geste (enfoncer…) et de la matière (le plâtre…) accède-t-il à la complexité d’une technique et d’une pensée de la procédure ? – En quoi cette technique, qui d’abord suppose le contact, transforme-t-elle les conditions fondamentales de la ressemblance et de la représentation ? – À quel genre d’érotisme ce travail du contact donne-t-il lieu ? – Quelle sorte de mémoire et de présent, quelle sorte d’anachronisme l’empreinte propose-t-elle à l’histoire de l’art aujourd’hui ? À ces questions le présent essai tente de répondre en retraçant une histoire synoptique de l’empreinte, mais aussi en modifiant nos façons habituelles de regarder l’image dans sa singularité : depuis le modèle optique, voire métaphysique, de l’imitation obtenue vers celui, tactile et technique, de son travail en acte. Cela pour modifier nos façons habituelles de comprendre chaque œuvre d’art – celle de Marcel Duchamp prise ici comme cas exemplaire – dans son historicité : depuis le modèle déductif qui peut nous faire imaginer un mouvement de progrès du modernisme au postmodernisme, vers un modèle plus complexe qui tient compte des intrications de temporalités hétérogènes dont toute image est faite."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001187 701-17 DID Livre Médiathèque Fonds général Disponible