| Titre : | Esthétique de la vie ordinaire | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Barbara Formis, Auteur | | Editeur : | Paris : Presses universitaires de France | | Année de publication : | 2010 | | Collection : | Lignes d'art | | Importance : | 1 vol. (265 p.) | | Format : | 22 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-13-058431-5 | | Langues : | Français | | Catégories : | Art
Esthétique
Quotidienneté (philosophie)
| | Résumé : | L’ordinaire vaut comme marque de fabrique de l’art contemporain. Il a forcé la serrure des institutions muséales pour donner une nouvelle définition de l’œuvre. Il a produit un nouveau régime esthétique, inventé un nouvel espace d’exposition et proposé des pratiques de production plus proches de l’humanité. Dès lors, quel statut donner à toutes ces expériences diffuses, infimes, à l’apparence mineure et insignifiante, dont l’art se nourrit maintenant ? Quelle définition donner de ce nouveau régime esthétique ? Et quel rôle faire jouer à la vie ? Loin de toute glorification du banal, cette nouvelle esthétique se veut avant tout pragmatiste en restant fidèle aux œuvres et aux idées des artistes : la peinture hollandaise dès le XVIIe siècle, le ready-made duchampien, le collage, la danse postmoderne, la performance, les happenings et Fluxus à l’époque contemporaine, autant de mouvements qui invitent à remettre en question l’idée d’un contraste entre l’art et la vie. Les gestes ordinaires y deviennent des chorégraphies, des protocoles d’action, des règles de conduite où l’esthétique s’identifie à l’expérience, à la fois familière et étourdissante, qui se trouve à mi-chemin entre la vie et l’art. [4e de couv.] |
Esthétique de la vie ordinaire [texte imprimé] / Barbara Formis, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, 2010 . - 1 vol. (265 p.) ; 22 cm. - ( Lignes d'art) . ISBN : 978-2-13-058431-5 Langues : Français | Catégories : | Art
Esthétique
Quotidienneté (philosophie)
| | Résumé : | L’ordinaire vaut comme marque de fabrique de l’art contemporain. Il a forcé la serrure des institutions muséales pour donner une nouvelle définition de l’œuvre. Il a produit un nouveau régime esthétique, inventé un nouvel espace d’exposition et proposé des pratiques de production plus proches de l’humanité. Dès lors, quel statut donner à toutes ces expériences diffuses, infimes, à l’apparence mineure et insignifiante, dont l’art se nourrit maintenant ? Quelle définition donner de ce nouveau régime esthétique ? Et quel rôle faire jouer à la vie ? Loin de toute glorification du banal, cette nouvelle esthétique se veut avant tout pragmatiste en restant fidèle aux œuvres et aux idées des artistes : la peinture hollandaise dès le XVIIe siècle, le ready-made duchampien, le collage, la danse postmoderne, la performance, les happenings et Fluxus à l’époque contemporaine, autant de mouvements qui invitent à remettre en question l’idée d’un contraste entre l’art et la vie. Les gestes ordinaires y deviennent des chorégraphies, des protocoles d’action, des règles de conduite où l’esthétique s’identifie à l’expérience, à la fois familière et étourdissante, qui se trouve à mi-chemin entre la vie et l’art. [4e de couv.] |
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Affiner la rechercheL'art, une histoire d'expositions / Jérôme Glicenstein
