Titre : | Le testament de la fille morte | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Colette Thomas (1918-2006), Auteur ; Pacôme Thiellement, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris : Éditions Prairial | Année de publication : | 2023 | Importance : | 1 vol. (175 p.) | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 979-10-93699-22-6 | Langues : | Français | Catégories : | Artaud, Antonin Contes Femmes artistes Formes brèves (littérature) Littérature -- 20e siècle
| Résumé : | Voici le « testament » fulgurant et énigmatique d’une jeune fille morte en 2006, à l’âge de 87 ans. Ce livre, elle l’a écrit en grande partie alors qu’elle n’avait pas 30 ans, en 1947, et l’a publié sous le pseudonyme de René en 1954. Livre plein de blancs et de trous, d’éclats – cris, bouts déchirés de lettres, contes avortés, paroles d’oracle… Livre introuvable en librairie depuis un demi-siècle, qui laisse pourtant « loin derrière lui la plupart des œuvres auxquelles on a fait un succès depuis vingt ans », écrivait Bernard Noël en 1974. Mais personne n’en a mieux parlé que son premier lecteur, Antonin Artaud : « Les textes de Colette Thomas présagent la formation d’un autre univers ; ils sont tout ce qui reste d’un monde qui a sombré, asphyxié par l’être, le serpent. » |
Le testament de la fille morte [texte imprimé] / Colette Thomas (1918-2006), Auteur ; Pacôme Thiellement, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions Prairial, 2023 . - 1 vol. (175 p.) ; 19 cm. ISBN : 979-10-93699-22-6 Langues : Français Catégories : | Artaud, Antonin Contes Femmes artistes Formes brèves (littérature) Littérature -- 20e siècle
| Résumé : | Voici le « testament » fulgurant et énigmatique d’une jeune fille morte en 2006, à l’âge de 87 ans. Ce livre, elle l’a écrit en grande partie alors qu’elle n’avait pas 30 ans, en 1947, et l’a publié sous le pseudonyme de René en 1954. Livre plein de blancs et de trous, d’éclats – cris, bouts déchirés de lettres, contes avortés, paroles d’oracle… Livre introuvable en librairie depuis un demi-siècle, qui laisse pourtant « loin derrière lui la plupart des œuvres auxquelles on a fait un succès depuis vingt ans », écrivait Bernard Noël en 1974. Mais personne n’en a mieux parlé que son premier lecteur, Antonin Artaud : « Les textes de Colette Thomas présagent la formation d’un autre univers ; ils sont tout ce qui reste d’un monde qui a sombré, asphyxié par l’être, le serpent. » |
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