Titre : | Éloge de Marcel Broodthaers | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Yves Depelsenaire, Auteur | Editeur : | Bruxelles : La Lettre volée | Année de publication : | 2022 | Collection : | Palimpsestes | Importance : | 1 vol. (80p.) | Présentation : | ill. en n & b | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87317-590-0 | Langues : | Français | Catégories : | Art -- 20e siècle Broodthaers, Marcel (1924-1976) Langage et culture Mallarmé, Stéphane (1842-1898) Poésie
| Résumé : | « Avec les arts plastiques, je n’ai pu que m’engager en terrain ennemi », disait Marcel Broodthaers. Quel est le sens de cet engagement ? Quel est l’enjeu du combat qui le conduit à la douloureuse décision de délaisser le champ de l’écriture poétique ? Son œuvre multiforme déjoue les interprétations. Plusieurs fils s’y tressent, selon une logique originale que déploie cet Éloge. Les références essentielles en sont Mallarmé, qu’il tient pour « l’inventeur de l’espace moderne », Magritte, à qui il fait crédit d’un « resserrement de la notion de sujet » et Lacan, pour qui « la vérité a structure de fiction ». Une poétique de l’objet et de l’absence d’objet s’en déduit, ainsi qu’une pratique ironique des équivoques de la communication. S’y dessine la figure d’un artiste génial, qu’on n’a pas fini de découvrir. [Résumé de l'éditeur] |
Éloge de Marcel Broodthaers [texte imprimé] / Yves Depelsenaire, Auteur . - Bruxelles : La Lettre volée, 2022 . - 1 vol. (80p.) : ill. en n & b ; 18 cm. - ( Palimpsestes) . ISBN : 978-2-87317-590-0 Langues : Français Catégories : | Art -- 20e siècle Broodthaers, Marcel (1924-1976) Langage et culture Mallarmé, Stéphane (1842-1898) Poésie
| Résumé : | « Avec les arts plastiques, je n’ai pu que m’engager en terrain ennemi », disait Marcel Broodthaers. Quel est le sens de cet engagement ? Quel est l’enjeu du combat qui le conduit à la douloureuse décision de délaisser le champ de l’écriture poétique ? Son œuvre multiforme déjoue les interprétations. Plusieurs fils s’y tressent, selon une logique originale que déploie cet Éloge. Les références essentielles en sont Mallarmé, qu’il tient pour « l’inventeur de l’espace moderne », Magritte, à qui il fait crédit d’un « resserrement de la notion de sujet » et Lacan, pour qui « la vérité a structure de fiction ». Une poétique de l’objet et de l’absence d’objet s’en déduit, ainsi qu’une pratique ironique des équivoques de la communication. S’y dessine la figure d’un artiste génial, qu’on n’a pas fini de découvrir. [Résumé de l'éditeur] |
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