Titre : | Simulacres et simulation | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean Baudrillard, Auteur | Editeur : | Paris : Galilée | Année de publication : | 1981 | Importance : | 1 vol. (235 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7186-0210-3 | Prix : | 32 EUR | Note générale : | Partiellement extrait de "Traverses", 1976-1979 | Langues : | Français | Catégories : | Baudrillard, Jean Réalité Simulation
| Résumé : | « Aujourd’hui l’abstraction n’est plus celle de la carte, du double, du miroir ou du concept.
La simulation n’est plus celle d’un territoire, d’un être référentiel, d’une substance. Elle est la génération par les modèles d’un réel sans origine ni réalité : hyperréel. Le territoire ne précède plus la carte, ni ne lui survit. C’est désormais la carte qui précède le territoire – précession des simulacres – c’est elle qui engendre le territoire et s’il fallait reprendre la fable, c’est aujourd’hui le territoire dont les lambeaux pourrissent lentement sur l’étendue de la carte.
C’est le réel, et non la carte, dont les vestiges subsistent çà et là, dans les déserts qui ne sont plus ceux de l’Empire, mais le nôtre. Le désert du réel lui-même. »
J. B. |
Simulacres et simulation [texte imprimé] / Jean Baudrillard, Auteur . - Paris : Galilée, 1981 . - 1 vol. (235 p.) : couv. ill. ; 22 cm. ISBN : 978-2-7186-0210-3 : 32 EUR Partiellement extrait de "Traverses", 1976-1979 Langues : Français Catégories : | Baudrillard, Jean Réalité Simulation
| Résumé : | « Aujourd’hui l’abstraction n’est plus celle de la carte, du double, du miroir ou du concept.
La simulation n’est plus celle d’un territoire, d’un être référentiel, d’une substance. Elle est la génération par les modèles d’un réel sans origine ni réalité : hyperréel. Le territoire ne précède plus la carte, ni ne lui survit. C’est désormais la carte qui précède le territoire – précession des simulacres – c’est elle qui engendre le territoire et s’il fallait reprendre la fable, c’est aujourd’hui le territoire dont les lambeaux pourrissent lentement sur l’étendue de la carte.
C’est le réel, et non la carte, dont les vestiges subsistent çà et là, dans les déserts qui ne sont plus ceux de l’Empire, mais le nôtre. Le désert du réel lui-même. »
J. B. |
| |