Titre : | La littérature et le mal : Emily Brontë. Baudelaire. Michelet. Blake. Sade. Proust. Kafka. Genet | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Bataille, Auteur | Editeur : | [Paris] : Gallimard | Année de publication : | 1998 | Collection : | Folio. Essais | Sous-collection : | Essais num. 148 | Importance : | 1 vol. (201 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-032607-5 | Langues : | Français | Catégories : | Bataille, Georges (1897-1962) Baudelaire, Charles (1821-1867) Kafka, Franz (1883-1924) Littérature -- Histoire et critique Proust, Marcel (1871-1922)
| Résumé : | «La littérature est l'essentiel, ou n'est rien. Le Mal - une forme aiguë du Mal - dont elle est l'expression, a pour nous, je le crois, la valeur souveraine. Mais cette conception ne commande pas l'absence de morale, elle exige une hypermorale.La littérature est communication. La communication commande la loyauté : la morale rigoureuse est donnée dans cette vue à partir de complicités dans la connaissance du Mal, qui fondent la communication intense.La littérature n'est pas innocente, et, coupable, elle devait à la fin s'avouer telle. L'action seule a les droits. La littérature, je l'ai, lentement, voulu montrer, c'est l'enfance enfin retrouvée. Mais l'enfance qui gouvernerait aurait-elle une vérité ?»Georges Bataille |
La littérature et le mal : Emily Brontë. Baudelaire. Michelet. Blake. Sade. Proust. Kafka. Genet [texte imprimé] / Georges Bataille, Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1998 . - 1 vol. (201 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio. Essais. Essais; 148) . ISBN : 978-2-07-032607-5 Langues : Français Catégories : | Bataille, Georges (1897-1962) Baudelaire, Charles (1821-1867) Kafka, Franz (1883-1924) Littérature -- Histoire et critique Proust, Marcel (1871-1922)
| Résumé : | «La littérature est l'essentiel, ou n'est rien. Le Mal - une forme aiguë du Mal - dont elle est l'expression, a pour nous, je le crois, la valeur souveraine. Mais cette conception ne commande pas l'absence de morale, elle exige une hypermorale.La littérature est communication. La communication commande la loyauté : la morale rigoureuse est donnée dans cette vue à partir de complicités dans la connaissance du Mal, qui fondent la communication intense.La littérature n'est pas innocente, et, coupable, elle devait à la fin s'avouer telle. L'action seule a les droits. La littérature, je l'ai, lentement, voulu montrer, c'est l'enfance enfin retrouvée. Mais l'enfance qui gouvernerait aurait-elle une vérité ?»Georges Bataille |
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