Titre : | La langue du garçon | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Vincent Broqua | Editeur : | Dijon : Les Presses du réel | Année de publication : | 2023 | Collection : | al dante | Importance : | 1 vol. (83 p.) | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-37896-441-2 | Langues : | Français | Catégories : | Amour Désir Français (langue) Masculinité Poésie contemporaine Sexualité
| Résumé : | La langue du garçon enquête : Où en sommes-nous de nos désirs, où en est l'amour ? On dit qu'il est fini, aurait-on perdu la tête ? La langue du garçon cherche où se situent nos corps contemporains par rapport à la volupté. Où est ce qui nous trouble ? Et comment manifester ce trouble ? Si elle part de l'affirmation d'un désir gai/gay, la langue du garçon propose une masculinité bien différente : elle aborde le garçon comme celui qu'on embrasse, et qui, dans ce moment, perd sa langue, en retrouve une autre et devient différent de lui-même. Dans l'embrasement, le garçon est peut-être une fille, ou rien de tout cela : la masculinité se fluidifie dans la métamorphose poétique des choses, des corps, des notions, des éléments. La langue du garçon est montage alterné de poèmes courts « feux » et « frais », d'un essai-poème narratif sur les rapports entre les corps inflammables de l'été et la poésie incendiaire voire émeutière, et d'un texte sur le saisissement du jeu voluptueux entre deux filles bien vivantes et la statue de marbre du Niobide mourant. Par cette constellation de textes, de dessins et photographies, La langue du garçon poursuit en la déplaçant l'enquête poétique que Vincent Broqua avait inaugurée avec Photocall, projet d'attendrissement (prix du roman gay 2021 mention poésie). |
La langue du garçon [texte imprimé] / Vincent Broqua . - Dijon : Les Presses du réel, 2023 . - 1 vol. (83 p.) ; 17 cm. - ( al dante) . ISBN : 978-2-37896-441-2 Langues : Français Catégories : | Amour Désir Français (langue) Masculinité Poésie contemporaine Sexualité
| Résumé : | La langue du garçon enquête : Où en sommes-nous de nos désirs, où en est l'amour ? On dit qu'il est fini, aurait-on perdu la tête ? La langue du garçon cherche où se situent nos corps contemporains par rapport à la volupté. Où est ce qui nous trouble ? Et comment manifester ce trouble ? Si elle part de l'affirmation d'un désir gai/gay, la langue du garçon propose une masculinité bien différente : elle aborde le garçon comme celui qu'on embrasse, et qui, dans ce moment, perd sa langue, en retrouve une autre et devient différent de lui-même. Dans l'embrasement, le garçon est peut-être une fille, ou rien de tout cela : la masculinité se fluidifie dans la métamorphose poétique des choses, des corps, des notions, des éléments. La langue du garçon est montage alterné de poèmes courts « feux » et « frais », d'un essai-poème narratif sur les rapports entre les corps inflammables de l'été et la poésie incendiaire voire émeutière, et d'un texte sur le saisissement du jeu voluptueux entre deux filles bien vivantes et la statue de marbre du Niobide mourant. Par cette constellation de textes, de dessins et photographies, La langue du garçon poursuit en la déplaçant l'enquête poétique que Vincent Broqua avait inaugurée avec Photocall, projet d'attendrissement (prix du roman gay 2021 mention poésie). |
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