Titre : | La Terre est un être vivant : l'hypothèse Gaïa | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | James Lovelock, Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-....), Préfacier, etc. ; Paul Couturiau, Traducteur ; Christelle Rollinat, Traducteur | Mention d'édition : | [Nouvelle éd.] | Editeur : | [Paris] : Flammarion | Année de publication : | 2017 | Collection : | Champs. Sciences | Sous-collection : | Sciences | Importance : | 1 vol. (285 p.) | Présentation : | ill. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-141654-3 | Note générale : | Bibliogr. p. 281-285 | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Ecologie Sciences de la Terre Terre Vie (biologie)
| Résumé : | De concert avec la célèbre biologiste Lynn Margulis, James Lovelock a conçu dans les années 1970 une hypothèse scientifique surprenante : les systèmes vivants de la Terre appartiendraient tous à une même entité, qui régulerait l'environnement de manière à préserver les conditions favorables à la vie. Telle est l'hypothèse Gaïa, nom grec de la déesse de la Terre. Il ne s'agit rien de moins que de repenser l'histoire de la vie et de la Terre. Notre «monde vivant», étonnante anomalie au regard de la planétologie comparée, ne forme-t-il pas un système, un «tout» comparable à un organisme autorégulé? Aujourd'hui, il est devenu évident que la vie est affectée par l'environnement, mais qu'elle l'affecte aussi en retour. Dès lors, l'hypothèse Gaïa, qui porte un regard différent sur notre planète, peut nous permettre de faire face au défi écologique. |
La Terre est un être vivant : l'hypothèse Gaïa [texte imprimé] / James Lovelock, Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-....), Préfacier, etc. ; Paul Couturiau, Traducteur ; Christelle Rollinat, Traducteur . - [Nouvelle éd.] . - [Paris] : Flammarion, 2017 . - 1 vol. (285 p.) : ill. ; 18 cm. - ( Champs. Sciences. Sciences) . ISBN : 978-2-08-141654-3 Bibliogr. p. 281-285 Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Ecologie Sciences de la Terre Terre Vie (biologie)
| Résumé : | De concert avec la célèbre biologiste Lynn Margulis, James Lovelock a conçu dans les années 1970 une hypothèse scientifique surprenante : les systèmes vivants de la Terre appartiendraient tous à une même entité, qui régulerait l'environnement de manière à préserver les conditions favorables à la vie. Telle est l'hypothèse Gaïa, nom grec de la déesse de la Terre. Il ne s'agit rien de moins que de repenser l'histoire de la vie et de la Terre. Notre «monde vivant», étonnante anomalie au regard de la planétologie comparée, ne forme-t-il pas un système, un «tout» comparable à un organisme autorégulé? Aujourd'hui, il est devenu évident que la vie est affectée par l'environnement, mais qu'elle l'affecte aussi en retour. Dès lors, l'hypothèse Gaïa, qui porte un regard différent sur notre planète, peut nous permettre de faire face au défi écologique. |
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