Titre : | C'est maquis : [photographies] | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Anne-Lise Broyer, Auteur ; Nicolas Comment, Auteur | Editeur : | Paris : Ecole nationale supérieure des arts décoratifs | Année de publication : | 2001 | Autre Editeur : | Trézélan : Filigranes éd. | Importance : | Non paginé [60] p. | Présentation : | ill. | Format : | 16 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-914381-09-3 | Note générale : | Publ. dans le cadre du post-diplôme Édition-presse de l'ENSAD, 2001 | Langues : | Français | Catégories : | Broyer, Anne-Lise (1975-....)
| Résumé : | “ Je ne puis dire précisément ce que ces photographies ont enregistré, ou alors je puis suggérer qu’elles ont enregistré du temps, quelque chose comme une matière du temps, hors du temps réel, combinaison d’une présence et d’une absence. […] Ces photographies tirent leur lumière, et éclairent en cela le temps qu’elles ont arrêté, non d’une éclaircie, naturelle ou artificielle, mais d’un obscurcissement. Est-ce le réel capté par l’œil du photographe qui suscite cet effet d’obscurcissement ou de peu de clarté ? Ou est-ce au contraire le mécanisme de la prise de vue, y compris dans ses effets chimiques, qui éclaire discrètement l’obscurité ? Ces images gardent le silence sur la réciprocité de ses effets.”
Alain Coulange, in La photographie, en effet. |
C'est maquis : [photographies] [texte imprimé] / Anne-Lise Broyer, Auteur ; Nicolas Comment, Auteur . - Paris : Ecole nationale supérieure des arts décoratifs : Trézélan : Filigranes éd., 2001 . - Non paginé [60] p. : ill. ; 16 cm. ISBN : 978-2-914381-09-3 Publ. dans le cadre du post-diplôme Édition-presse de l'ENSAD, 2001 Langues : Français Catégories : | Broyer, Anne-Lise (1975-....)
| Résumé : | “ Je ne puis dire précisément ce que ces photographies ont enregistré, ou alors je puis suggérer qu’elles ont enregistré du temps, quelque chose comme une matière du temps, hors du temps réel, combinaison d’une présence et d’une absence. […] Ces photographies tirent leur lumière, et éclairent en cela le temps qu’elles ont arrêté, non d’une éclaircie, naturelle ou artificielle, mais d’un obscurcissement. Est-ce le réel capté par l’œil du photographe qui suscite cet effet d’obscurcissement ou de peu de clarté ? Ou est-ce au contraire le mécanisme de la prise de vue, y compris dans ses effets chimiques, qui éclaire discrètement l’obscurité ? Ces images gardent le silence sur la réciprocité de ses effets.”
Alain Coulange, in La photographie, en effet. |
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