Titre : | Entre les images : Notes et réflexions sur mes films et le cinéma | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christian Lebrat, Auteur | Editeur : | Paris : Éd. Paris expérimental | Année de publication : | 1997 | Importance : | 1 vol. (100p.) | Présentation : | ill. en noir et blanc | Format : | 20 cm | Langues : | Français | Catégories : | Écrits d'artistes Réalisateurs de cinéma
| Résumé : | Depuis que je fais des films j’ai toujours été intéressé par le fait que l’image au cinéma – l’image sur l’écran – n’existe pas du tout. C’est une image immatérielle : vous ne pouvez pas la toucher, c’est seulement de la lumière, de la lumière projetée.
Si vous êtes un cinéaste, vous avez à faire avec cette très forte caractéristique du cinéma : d’un côté vous travaillez avec le celluloïd qui est un support très concret, vous pouvez le tenir dans vos mains, le couper, travailler image par image et ainsi de suite, et de l’autre côté, quand ce celluloïd est projeté, les images concrètes se transforment en lumière projetée. Ainsi, quand vous faites un film, vous devez avoir à l’esprit que le celluloïd sur lequel les images sont impressionnées sera transformé en lumière par le projecteur. Pour cette raison, le travail du cinéaste a essentiellement à voir avec le rythme, la vitesse, le mouvement et les mutations de la lumière. [Résumé Re:Voir] |
Entre les images : Notes et réflexions sur mes films et le cinéma [texte imprimé] / Christian Lebrat, Auteur . - Paris : Éd. Paris expérimental, 1997 . - 1 vol. (100p.) : ill. en noir et blanc ; 20 cm. Langues : Français Catégories : | Écrits d'artistes Réalisateurs de cinéma
| Résumé : | Depuis que je fais des films j’ai toujours été intéressé par le fait que l’image au cinéma – l’image sur l’écran – n’existe pas du tout. C’est une image immatérielle : vous ne pouvez pas la toucher, c’est seulement de la lumière, de la lumière projetée.
Si vous êtes un cinéaste, vous avez à faire avec cette très forte caractéristique du cinéma : d’un côté vous travaillez avec le celluloïd qui est un support très concret, vous pouvez le tenir dans vos mains, le couper, travailler image par image et ainsi de suite, et de l’autre côté, quand ce celluloïd est projeté, les images concrètes se transforment en lumière projetée. Ainsi, quand vous faites un film, vous devez avoir à l’esprit que le celluloïd sur lequel les images sont impressionnées sera transformé en lumière par le projecteur. Pour cette raison, le travail du cinéaste a essentiellement à voir avec le rythme, la vitesse, le mouvement et les mutations de la lumière. [Résumé Re:Voir] |
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