Titre : | Le professeur | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christian Prigent, Auteur | Editeur : | Marseille : Al Dante | Année de publication : | 2011 | Importance : | 1 vol. (147 p.) | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84761-845-7 | Langues : | Français | Catégories : | Domination Littérature contemporaine Phrase (Linguistique) Pornographie Roman
| Résumé : | Le professeur est un récit en 28 chapitres, chacun composé d'une seule phrase, longue de plusieurs pages, écrite selon un rythme lancinant, parfois heurté, syncopé. Il y a ici une confrontation violente entre le travail formel, « abstrait » du langage, et le sujet, pornographique, où le corps et ses élans sont présents dans toute leur crudité. Ce livre se situe dans une droite lignée bataillienne, il en est même un hommage, où la notion de « pure perte », chère à Georges Bataille, est ici remplacée par Christian Prigent en « part putain ». Dans cette histoire, plus que d'aller au bout de ses fantasmes, le but est bien plus d'oser aller jusqu'au bout de ses peurs, de ses angoisses existentielles, pour tenter de s'en libérer – et la dimension tragique de ce livre est bien, justement, dans la conscience nue de l'impossibilité de cette quête. Derrière ce récit pornographique, se révèle une véritable parabole sur la conscience d'être mortel, au sens philosophique du terme.[Résumé de l'éditeur] |
Le professeur [texte imprimé] / Christian Prigent, Auteur . - Marseille : Al Dante, 2011 . - 1 vol. (147 p.) ; 17 cm. ISBN : 978-2-84761-845-7 Langues : Français Catégories : | Domination Littérature contemporaine Phrase (Linguistique) Pornographie Roman
| Résumé : | Le professeur est un récit en 28 chapitres, chacun composé d'une seule phrase, longue de plusieurs pages, écrite selon un rythme lancinant, parfois heurté, syncopé. Il y a ici une confrontation violente entre le travail formel, « abstrait » du langage, et le sujet, pornographique, où le corps et ses élans sont présents dans toute leur crudité. Ce livre se situe dans une droite lignée bataillienne, il en est même un hommage, où la notion de « pure perte », chère à Georges Bataille, est ici remplacée par Christian Prigent en « part putain ». Dans cette histoire, plus que d'aller au bout de ses fantasmes, le but est bien plus d'oser aller jusqu'au bout de ses peurs, de ses angoisses existentielles, pour tenter de s'en libérer – et la dimension tragique de ce livre est bien, justement, dans la conscience nue de l'impossibilité de cette quête. Derrière ce récit pornographique, se révèle une véritable parabole sur la conscience d'être mortel, au sens philosophique du terme.[Résumé de l'éditeur] |
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