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Douglas Gordon : où se trouvent les clefs ? suivi de Unnaturalhistorie / Eric Mezil

Public ISBD Titre : Douglas Gordon : où se trouvent les clefs ? suivi de Unnaturalhistorie Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Mezil, Auteur ; Jacques Chiffoleau, Auteur ; Rudolf Sagmeister, Auteur ; Corinne Rondeau, Auteur ; Alexandra Keens, Traducteur ; Jean Torrent, Traducteur ; Clay Suddath, Traducteur ; Eric Mezil, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2008 Autre Editeur : Avignon : Collection Lambert en Avignon Importance : 191 p. Format : ill. en coul., 28 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-012328-5 Langues : Français Catégories : Art Grande-Bretagne Installations (art) Photographies Vidéo XXI° XX° Artistes : GORDON, Douglas Expositions : AVIGNON, collection Lambert, 2008 ; AVIGNON, Palais des Papes, 2008 Douglas Gordon : où se trouvent les clefs ? suivi de Unnaturalhistorie [texte imprimé] / Eric Mezil, Auteur ; Jacques Chiffoleau, Auteur ; Rudolf Sagmeister, Auteur ; Corinne Rondeau, Auteur ; Alexandra Keens, Traducteur ; Jean Torrent, Traducteur ; Clay Suddath, Traducteur ; Eric Mezil, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Gallimard : Avignon : Collection Lambert en Avignon, 2008 . - 191 p. ; ill. en coul., 28 cm. ISBN : 978-2-07-012328-5 Langues : Français Catégories : Art Grande-Bretagne Installations (art) Photographies Vidéo XXI° XX° Artistes : GORDON, Douglas Expositions : AVIGNON, collection Lambert, 2008 ; AVIGNON, Palais des Papes, 2008

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004319	709-2 GOR MEZ	Catalogue	Médiathèque	Fonds général	Disponible

Vik Muniz

Public ISBD Titre : Vik Muniz : Le musée imaginaire [Exposition. Avignon, Hôtel de Caumont & Eglise des célestins, Collection Lambert en Avignon, du 11 décembre 2011 au 13 mai 2012] Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Mezil, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Fabienne Clérin, Traducteur ; Sally Ross, Traducteur Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : 2011 Autre Editeur : Avignon : Collection Lambert en Avignon Importance : 175 p. Présentation : ill. en coul. Format : 29 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-00457-6 Langues : Anglais Français Catégories : Brésil Installations (art) Muniz, Vik Peinture Photographies Résumé : Dans ce musée imaginaire, Vik Muniz, photographe contemporain et ambassadeur auprès de l'Unesco, déploie tout son art de l'illusion et questionne à la fois la nature des représentations visuelles de chacun et le rapport à l'art et aux chefs-d'oeuvres. Vik Muniz : Le musée imaginaire [Exposition. Avignon, Hôtel de Caumont & Eglise des célestins, Collection Lambert en Avignon, du 11 décembre 2011 au 13 mai 2012] [texte imprimé] / Eric Mezil, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Fabienne Clérin, Traducteur ; Sally Ross, Traducteur . - Arles : Actes Sud : Avignon : Collection Lambert en Avignon, 2011 . - 175 p. : ill. en coul. ; 29 cm. ISBN : 978-2-330-00457-6 Langues : Anglais Français Catégories : Brésil Installations (art) Muniz, Vik Peinture Photographies Résumé : Dans ce musée imaginaire, Vik Muniz, photographe contemporain et ambassadeur auprès de l'Unesco, déploie tout son art de l'illusion et questionne à la fois la nature des représentations visuelles de chacun et le rapport à l'art et aux chefs-d'oeuvres.

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010300	709.2 MUN VIK	Catalogue	Médiathèque	Fonds général	Disponible

La disparition des lucioles

Public ISBD Titre : La disparition des lucioles : Exposition de la prison Sainte-Anne Type de document : texte imprimé Editeur : Avignon : Collection Lambert en Avignon Année de publication : 2014 Autre Editeur : Arles : Actes Sud Importance : 1 vol. (381 p.) Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-03223-4 Langues : Français Catégories : Art -- 21e siècle Collectionneurs et collections Pratiques politiques Prisons Résumé : Quelques mois avant sa mort, le 1er février 1975, dans le Corriere, Pier Paolo Pasolini publie L’article des Lucioles. Ce texte désormais célèbre est teinté d’une introspection quasi testamentaire qui trouve écho à la lettre à son ami Franco Farolfi du groupe littéraire Eredi, formé quand il vivait à Bologne 25 ans plus tôt : « Au début des années 60, à cause de la pollution atmosphérique, et surtout, à la campagne, à cause de la pollution de l’eau (fleuves d’azur et canaux limpides), les lucioles ont commencé à disparaître. Cela a été un phénomène foudroyant et fulgurant. Après quelques années, il n’y avait plus de lucioles. Ce « quelque chose » qui est intervenu il y a une dizaine d’années, nous l’appellerons donc la « disparition des lucioles ». Ce titre devient le thème d’une exposition pour la prison désaffectée à Avignon, titre qui prend tout son sens quand on relit ce texte fondateur de la culture sociale, esthétique et politique des années 70 en Italie. P.P. Pasolini, en choisissant les lucioles comme métaphore d’une société révolue, éclairait le monde tel un veilleur de nuit avec les derniers scintillements d’une civilisation, celle d’une culture qui, partout en Europe, allait être dévorée par La société du spectacle, pour reprendre le titre du chef d’œuvre de Guy Debord, cet autre veilleur de nuit contemporain de l’auteur de Teorema, Mamma Roma ou de L’Evangile selon saint Mathieu. La disparition des lucioles : Exposition de la prison Sainte-Anne [texte imprimé] . - Avignon : Collection Lambert en Avignon : Arles : Actes Sud, 2014 . - 1 vol. (381 p.) ; 29 cm. ISBN : 978-2-330-03223-4 Langues : Français Catégories : Art -- 21e siècle Collectionneurs et collections Pratiques politiques Prisons Résumé : Quelques mois avant sa mort, le 1er février 1975, dans le Corriere, Pier Paolo Pasolini publie L’article des Lucioles. Ce texte désormais célèbre est teinté d’une introspection quasi testamentaire qui trouve écho à la lettre à son ami Franco Farolfi du groupe littéraire Eredi, formé quand il vivait à Bologne 25 ans plus tôt : « Au début des années 60, à cause de la pollution atmosphérique, et surtout, à la campagne, à cause de la pollution de l’eau (fleuves d’azur et canaux limpides), les lucioles ont commencé à disparaître. Cela a été un phénomène foudroyant et fulgurant. Après quelques années, il n’y avait plus de lucioles. Ce « quelque chose » qui est intervenu il y a une dizaine d’années, nous l’appellerons donc la « disparition des lucioles ». Ce titre devient le thème d’une exposition pour la prison désaffectée à Avignon, titre qui prend tout son sens quand on relit ce texte fondateur de la culture sociale, esthétique et politique des années 70 en Italie. P.P. Pasolini, en choisissant les lucioles comme métaphore d’une société révolue, éclairait le monde tel un veilleur de nuit avec les derniers scintillements d’une civilisation, celle d’une culture qui, partout en Europe, allait être dévorée par La société du spectacle, pour reprendre le titre du chef d’œuvre de Guy Debord, cet autre veilleur de nuit contemporain de l’auteur de Teorema, Mamma Roma ou de L’Evangile selon saint Mathieu.

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015393	707-4 LAM 2014	Catalogue	Médiathèque	Fonds général	Disponible

La fin des forêts / Cécile Debray

Public ISBD Titre : La fin des forêts : [4e édition du festival ¡ VIVA VILLA ! ; Collection Lambert, Avignon ; 11 octobre-10 novembre 2019] Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Debray, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Avignon : Collection Lambert en Avignon Année de publication : 2019 Importance : 190 p. Présentation : ill. en noir et en coul. Langues : Français Catégories : Anthropocène Arbres Art et écologie Paysage Résumé : Cet hiver sont tombés les pins parasols centenaires de la Villa Médicis. Signe brutal et fédérateur, les cimes majestueuses et historiques de ces arbres disparus projettent leur ombre mélancolique, inspirante et tutélaire sur l’édition 2019 de ¡Viva Villa!. La figure de l’arbre surgit, hante l’imaginaire et la pensée actuelle comme la rémanence d’un monde en passe de disparaître. Cette pensée écologique et politique habite nombre d’œuvres des artistes des trois prestigieuses résidences artistiques – Villa Médicis, Casa de Velázquez et Villa Kujoyama. La silhouette de l’arbre filmée, son tronc sculpté suspendu sur une scène, des forêts de bambous muséifiées comme un topos menacé à l’ère de l’anthropocène, une flore classifiée, de l’invasion des forêts d’eucalyptus à la vertu phytothérapeutique et symbolique de l’ail ou celle de l’indigo. Du paysage déforesté et vidé de ses villages dont l’indécision poétique hésite entre présent et effondrement annoncé, scènes de dystopies d’un monde ébranlé jusqu’aux nouveaux objets et matériaux hybrides, il semble que chacun développe dans sa discipline – vidéo, peinture, écriture, théâtre, danse, performance, sculpture, gravure, architecture, musique, design et métiers d’art, cinéma...- des imaginaires écologiques et poétiques marqués par cette « vie des plantes » (Emanuele Coccia) menacée. Reliés à l’histoire, à une histoire culturelle puissante, beaucoup tentent de penser la manière dont ce lien au passé subsiste, irrigue notre présent : sont ainsi évoqués la Bataille de San Romano de Paolo Uccello et sa forêt de lances, les antécédents d’une pensée écologique avec les figures de Joseph Beuys (Défense de la nature, 1977) ou de Robert Smithson en visite à Rome, la notion d’effondrement selon Aby Warburg (La Guérison infinie) entre le moi et le monde, l’approche organique de Buñuel, le matiérisme de Millares et de Tapiès, l’hybridation animiste de la culture Dogon et de l’usage du smartphone, le spiritisme d’un Edison annonçant un au-delà numérique, l’effacement selon Maurice Blanchot, Claude Régy ou Louis-René des Forêts, l’actionnisme japonais Gutaï et la notion de don, le phénomène de l’irradiation, celui de la danse butō ... L’exposition offre ainsi un cheminement en six chapitres qui permet d’entrevoir tout d’abord les projections d’un futur, entre effondrements et hétérotopies puis les descriptions diverses de notre présent anthropocène autour d’un ensemble cohérent d’espèce d’herbiers développant des imaginaires écologiques et une réflexion sur le temps organique et corporel sous l’image de la mémoire des éléphants enfin, la question du lien au passé est posée à travers les vestiges et images résurgentes et les anamorphoses ou hybridations.Une programmation de musique, de films, théâtre et danse mêle mouvements, images, textes et sons à cette errance en art. Cécile Debray, Commissaire La fin des forêts : [4e édition du festival ¡ VIVA VILLA ! ; Collection Lambert, Avignon ; 11 octobre-10 novembre 2019] [texte imprimé] / Cécile Debray, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Avignon : Collection Lambert en Avignon, 2019 . - 190 p. : ill. en noir et en coul. Langues : Français Catégories : Anthropocène Arbres Art et écologie Paysage Résumé : Cet hiver sont tombés les pins parasols centenaires de la Villa Médicis. Signe brutal et fédérateur, les cimes majestueuses et historiques de ces arbres disparus projettent leur ombre mélancolique, inspirante et tutélaire sur l’édition 2019 de ¡Viva Villa!. La figure de l’arbre surgit, hante l’imaginaire et la pensée actuelle comme la rémanence d’un monde en passe de disparaître. Cette pensée écologique et politique habite nombre d’œuvres des artistes des trois prestigieuses résidences artistiques – Villa Médicis, Casa de Velázquez et Villa Kujoyama. La silhouette de l’arbre filmée, son tronc sculpté suspendu sur une scène, des forêts de bambous muséifiées comme un topos menacé à l’ère de l’anthropocène, une flore classifiée, de l’invasion des forêts d’eucalyptus à la vertu phytothérapeutique et symbolique de l’ail ou celle de l’indigo. Du paysage déforesté et vidé de ses villages dont l’indécision poétique hésite entre présent et effondrement annoncé, scènes de dystopies d’un monde ébranlé jusqu’aux nouveaux objets et matériaux hybrides, il semble que chacun développe dans sa discipline – vidéo, peinture, écriture, théâtre, danse, performance, sculpture, gravure, architecture, musique, design et métiers d’art, cinéma...- des imaginaires écologiques et poétiques marqués par cette « vie des plantes » (Emanuele Coccia) menacée. Reliés à l’histoire, à une histoire culturelle puissante, beaucoup tentent de penser la manière dont ce lien au passé subsiste, irrigue notre présent : sont ainsi évoqués la Bataille de San Romano de Paolo Uccello et sa forêt de lances, les antécédents d’une pensée écologique avec les figures de Joseph Beuys (Défense de la nature, 1977) ou de Robert Smithson en visite à Rome, la notion d’effondrement selon Aby Warburg (La Guérison infinie) entre le moi et le monde, l’approche organique de Buñuel, le matiérisme de Millares et de Tapiès, l’hybridation animiste de la culture Dogon et de l’usage du smartphone, le spiritisme d’un Edison annonçant un au-delà numérique, l’effacement selon Maurice Blanchot, Claude Régy ou Louis-René des Forêts, l’actionnisme japonais Gutaï et la notion de don, le phénomène de l’irradiation, celui de la danse butō ... L’exposition offre ainsi un cheminement en six chapitres qui permet d’entrevoir tout d’abord les projections d’un futur, entre effondrements et hétérotopies puis les descriptions diverses de notre présent anthropocène autour d’un ensemble cohérent d’espèce d’herbiers développant des imaginaires écologiques et une réflexion sur le temps organique et corporel sous l’image de la mémoire des éléphants enfin, la question du lien au passé est posée à travers les vestiges et images résurgentes et les anamorphoses ou hybridations.Une programmation de musique, de films, théâtre et danse mêle mouvements, images, textes et sons à cette errance en art. Cécile Debray, Commissaire

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018424	707.4 LAM 2019	Catalogue	Médiathèque	Fonds général	Disponible