Titre : | Graphisme en France 2020 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Centre national des arts plastiques ; Béatrice Salmon, Directeur de publication, rédacteur en chef | Editeur : | Paris : Cnap | Année de publication : | 2020 | Importance : | 100 p. | Langues : | Français | Catégories : | Arts graphiques
| Résumé : | Cette vingt-sixième édition aborde la question de l’écriture et du design graphique. Cette notion est ici envisagée dans un sens large. L’écriture est au cœur du travail des graphistes. Elle est la matière qu’ils composent, qu’ils façonnent et qu’ils articulent avec les images. L’écriture est aussi un moyen d’expression, d’affirmation et de construction de la pensée des graphistes, c’est aussi un outil permettant de structurer et de définir ce domaine et son histoire, et, enfin, l’écriture est pensée comme référence et comme source d’inspiration, contribuant à forger et à nourrir la création.
C’est à ces questions que Léonore Conte, designer, enseignante et doctorante, Ellen Lupton, designer, auteure, commissaire d’exposition et enseignante américaine, Richard Niessen, designer et auteur néerlandais, Nolwenn Maudet, designer, enseignante et chercheuse, et Vivien Philizot, designer et maître de conférence à l’Université de Strasbourg, ont accepté de répondre afin d’alimenter notre réflexion.
Chaque édition de Graphisme en France est imaginée par un jeune graphiste récemment diplômé qui conçoit un objet éditorial inédit en fonction du sujet en choisissant un format, des papiers, une reliure et des caractères typographiques spécifiques.
Cette année c’est à Théo Miller qu’a été confié le design graphique du numéro. Diplômé en image imprimée et design typographique à l’École Estienne en 2016, il a prolongé sa formation au Celsa – Paris Sorbonne afin d’approfondir les liens entre écriture et outils de dessin de lettre. Sa proposition structure les différentes contributions avec une attention particulière pour les images, reproduites de manière à les rendre lisible et à brouiller la frontière entre les textes et les documents textuels. L’ensemble est composé avec les caractères typographiques Ductil de Marion Sendral, Grandmaster de Lucas Descroix, Grtsk de Ilya Naumoff et Benjamin Blaess et Minotaur de Jean-Baptiste Levée, ces choix manifestent la volonté de représenter une certaine pluralité typographique, en écho à la diversité des écritures présentes dans ce numéro. De la même manière, les couvertures qui sont au nombre de quatre, donnent à lire une sorte de «sommaire visuel» des différents articles de la revue. Ainsi assemblés sur une page, ces textes-images aux auteurs multiples donnent forme à une polyphonie énonciative accentuée par un travail de montage, de découpe et de collage. |
Graphisme en France 2020 [texte imprimé] / Centre national des arts plastiques ; Béatrice Salmon, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Cnap, 2020 . - 100 p. Langues : Français Catégories : | Arts graphiques
| Résumé : | Cette vingt-sixième édition aborde la question de l’écriture et du design graphique. Cette notion est ici envisagée dans un sens large. L’écriture est au cœur du travail des graphistes. Elle est la matière qu’ils composent, qu’ils façonnent et qu’ils articulent avec les images. L’écriture est aussi un moyen d’expression, d’affirmation et de construction de la pensée des graphistes, c’est aussi un outil permettant de structurer et de définir ce domaine et son histoire, et, enfin, l’écriture est pensée comme référence et comme source d’inspiration, contribuant à forger et à nourrir la création.
C’est à ces questions que Léonore Conte, designer, enseignante et doctorante, Ellen Lupton, designer, auteure, commissaire d’exposition et enseignante américaine, Richard Niessen, designer et auteur néerlandais, Nolwenn Maudet, designer, enseignante et chercheuse, et Vivien Philizot, designer et maître de conférence à l’Université de Strasbourg, ont accepté de répondre afin d’alimenter notre réflexion.
Chaque édition de Graphisme en France est imaginée par un jeune graphiste récemment diplômé qui conçoit un objet éditorial inédit en fonction du sujet en choisissant un format, des papiers, une reliure et des caractères typographiques spécifiques.
Cette année c’est à Théo Miller qu’a été confié le design graphique du numéro. Diplômé en image imprimée et design typographique à l’École Estienne en 2016, il a prolongé sa formation au Celsa – Paris Sorbonne afin d’approfondir les liens entre écriture et outils de dessin de lettre. Sa proposition structure les différentes contributions avec une attention particulière pour les images, reproduites de manière à les rendre lisible et à brouiller la frontière entre les textes et les documents textuels. L’ensemble est composé avec les caractères typographiques Ductil de Marion Sendral, Grandmaster de Lucas Descroix, Grtsk de Ilya Naumoff et Benjamin Blaess et Minotaur de Jean-Baptiste Levée, ces choix manifestent la volonté de représenter une certaine pluralité typographique, en écho à la diversité des écritures présentes dans ce numéro. De la même manière, les couvertures qui sont au nombre de quatre, donnent à lire une sorte de «sommaire visuel» des différents articles de la revue. Ainsi assemblés sur une page, ces textes-images aux auteurs multiples donnent forme à une polyphonie énonciative accentuée par un travail de montage, de découpe et de collage. |
| |