Titre : | Le temps pris : le temps de l'oeuvre, le temps à l'oeuvre | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christine Macel, Auteur | Mention d'édition : | Nouvelle éd. revue et augmentée d'une préface | Editeur : | Paris : Flammarion | Année de publication : | DL 2020 | Collection : | Champs. Arts | Sous-collection : | Arts | Importance : | 1 vol. (218 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-148708-6 | Note générale : | Bibliogr. p. 215-218 | Langues : | Français | Catégories : | Art -- 1990-.... Art éphémère Temps
| Index. décimale : | 701.8 | Résumé : | « Les nouveaux vécus temporels urbains, notamment avec l’hyperconnexion, aboutissent à la quasi-suppression, voire à une allergie collective aux temps morts. Avec la 5G, l’instantanéité de la transmission de l’information va concurrencer la vitesse de nos propres synapses, voire les parasiter – tout en bouleversant les équilibres géopolitiques. Une sorte d’impatience fébrile s’est fait jour, un mélange de tension dû au désir d’absorber les informations, et une exaspération, voire une fatigue face au trop-plein, un véritable débordement cognitif. Tout cela impacte fortement les pratiques et les imaginaires des artistes, comme les pratiques culturelles elles-mêmes et la manière d’appréhender les œuvres. »
Christine Macel. | Note de contenu : | Nouvelle édition revue et augmentée d’une préface |
Le temps pris : le temps de l'oeuvre, le temps à l'oeuvre [texte imprimé] / Christine Macel, Auteur . - Nouvelle éd. revue et augmentée d'une préface . - Paris : Flammarion, DL 2020 . - 1 vol. (218 p.) ; 18 cm. - ( Champs. Arts. Arts) . ISBN : 978-2-08-148708-6 Bibliogr. p. 215-218 Langues : Français Catégories : | Art -- 1990-.... Art éphémère Temps
| Index. décimale : | 701.8 | Résumé : | « Les nouveaux vécus temporels urbains, notamment avec l’hyperconnexion, aboutissent à la quasi-suppression, voire à une allergie collective aux temps morts. Avec la 5G, l’instantanéité de la transmission de l’information va concurrencer la vitesse de nos propres synapses, voire les parasiter – tout en bouleversant les équilibres géopolitiques. Une sorte d’impatience fébrile s’est fait jour, un mélange de tension dû au désir d’absorber les informations, et une exaspération, voire une fatigue face au trop-plein, un véritable débordement cognitif. Tout cela impacte fortement les pratiques et les imaginaires des artistes, comme les pratiques culturelles elles-mêmes et la manière d’appréhender les œuvres. »
Christine Macel. | Note de contenu : | Nouvelle édition revue et augmentée d’une préface |
| |