Titre : | L'oeuvre ouverte, d'un art à l'autre | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Yves Bosseur, Auteur | Editeur : | Paris : Minerve | Année de publication : | impr. 2013 | Importance : | 1 vol. (221 p.) | Présentation : | ill., couv. ill. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86931-132-9 | Note générale : | Bibliogr. p. 215-216. Notes bibliogr. Index | Langues : | Français | Catégories : | Création (esthétique) Relations entre les arts
| Résumé : | Le statut de l’œuvre d’art a connu de profonds bouleversements au XXe siècle, en particulier à partir des années 1950. Dans les différents champs d’expression, nombreux sont les artistes qui ont fait en sorte que leurs œuvres ne soient plus fixées sous une forme définitive, univoque, mais qu’elles puissent se présenter sous de multiples facettes. Mais l’ouverture de l’œuvre reste-t-elle une visée utopique, un projet dominé par des principes de nature combinatoire, ou bien contribue-t-elle à réduire l’écart entre celui qui produit et celui qui reçoit ? À l’heure où culture semble rimer davantage avec consommation, divertissement, voire distraction ou politique des loisirs qu’avec connaissance, le débat sur l’« œuvre ouverte » est, par définition, loin d’être clos. |
L'oeuvre ouverte, d'un art à l'autre [texte imprimé] / Jean-Yves Bosseur, Auteur . - Paris : Minerve, impr. 2013 . - 1 vol. (221 p.) : ill., couv. ill. ; 23 cm. ISBN : 978-2-86931-132-9 Bibliogr. p. 215-216. Notes bibliogr. Index Langues : Français Catégories : | Création (esthétique) Relations entre les arts
| Résumé : | Le statut de l’œuvre d’art a connu de profonds bouleversements au XXe siècle, en particulier à partir des années 1950. Dans les différents champs d’expression, nombreux sont les artistes qui ont fait en sorte que leurs œuvres ne soient plus fixées sous une forme définitive, univoque, mais qu’elles puissent se présenter sous de multiples facettes. Mais l’ouverture de l’œuvre reste-t-elle une visée utopique, un projet dominé par des principes de nature combinatoire, ou bien contribue-t-elle à réduire l’écart entre celui qui produit et celui qui reçoit ? À l’heure où culture semble rimer davantage avec consommation, divertissement, voire distraction ou politique des loisirs qu’avec connaissance, le débat sur l’« œuvre ouverte » est, par définition, loin d’être clos. |
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