Titre :	Anthropologie du corps et modernité
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	David Le Breton, Auteur
Mention d'édition :	[Nouvelle éd.]
Editeur :	Paris : PUF
Année de publication :	1990, ré-éd. 2015
Collection :	Quadrige (Paris. 1981), ISSN 0291-0489
Importance :	1 vol. (330 p.)
Format :	19 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-13-062433-2
Langues :	Français
Catégories :	Corps humain Médecine Représentation (esthétique)
Résumé :	Anthropologie du corps. Anthropologie du présent. Tels sont les deux aspects de cette étude qui met le monde moderne en perspective en prenant le fil conducteur du corps. David Le Breton étudie les logiques sociales et culturelles qui font, aujourd'hui, du corps un thème privilégié des pratiques, des discours ou de l'imaginaire. Le dualisme moderne, très répandu, oppose l'homme à son corps ; il fait de ce dernier un avoir, une possession, plutôt que la souche identitaire qui donne son visage à l'homme. Cette dissociation, on la retrouve au cœur de la médecine moderne qui parie sur le corps, plutôt que sur l'homme. Elle est profondément ancrée dans les ritualités sociales, dans l'engouement actuel pour les choses du corps, de la santé, de la forme, des formes, etc. Le corps se transforme en membre surnuméraire de l'homme, dont celui-ci reçoit son salut ou son dépit selon les circonstances. [4e de couv.]

Anthropologie du corps et modernité [texte imprimé] / David Le Breton, Auteur  . -  [Nouvelle éd.] . - Paris : PUF, 1990, ré-éd. 2015 . - 1 vol. (330 p.) ; 19 cm. - (Quadrige (Paris. 1981), ISSN 0291-0489) .
ISBN : 978-2-13-062433-2
Langues : Français

Catégories :

Corps humain Médecine Représentation (esthétique)

Résumé :

Anthropologie du corps. Anthropologie du présent. Tels sont les deux aspects de cette étude qui met le monde moderne en perspective en prenant le fil conducteur du corps. David Le Breton étudie les logiques sociales et culturelles qui font, aujourd'hui, du corps un thème privilégié des pratiques, des discours ou de l'imaginaire. Le dualisme moderne, très répandu, oppose l'homme à son corps ; il fait de ce dernier un avoir, une possession, plutôt que la souche identitaire qui donne son visage à l'homme. Cette dissociation, on la retrouve au cœur de la médecine moderne qui parie sur le corps, plutôt que sur l'homme. Elle est profondément ancrée dans les ritualités sociales, dans l'engouement actuel pour les choses du corps, de la santé, de la forme, des formes, etc. Le corps se transforme en membre surnuméraire de l'homme, dont celui-ci reçoit son salut ou son dépit selon les circonstances. [4e de couv.]